Match Afrique du Sud-Sénégal à rejouer : Ce qu’en pense de Georges Weah
13 septembre 2017, 09:58, par
Mosak
L’injustice n’est pas tant l’annulation du match à rejouer, mais le temps mis par la FIFA, qui a attendu que le Sénégal se trouve en difficulté, pour réagir près d’un an après. De quoi se demander si la FIFA n’est pas plus corrompu que l’arbitre mis en cause.
À défaut d’une FIFA incurablement "blatterisée", le laxisme, la lourdeur sinon l’incompétence de cette institution est alors patente.
Si le match avait été rejoué au plus tard trois mois après, cela relèverai plus d’une sincère recherche d’équité.
En droit il y a ce qu’on appelle les délais de prescription, et la FIFA serait plus crédible si elle s’imposait des délais raisonnables dans ses prises de décisions. À c’est effet, elle pourrait prévoir une procédure de référé.
L’injustice n’est pas tant l’annulation du match à rejouer, mais le temps mis par la FIFA, qui a attendu que le Sénégal se trouve en difficulté, pour réagir près d’un an après. De quoi se demander si la FIFA n’est pas plus corrompu que l’arbitre mis en cause.
À défaut d’une FIFA incurablement "blatterisée", le laxisme, la lourdeur sinon l’incompétence de cette institution est alors patente.
Si le match avait été rejoué au plus tard trois mois après, cela relèverai plus d’une sincère recherche d’équité.
En droit il y a ce qu’on appelle les délais de prescription, et la FIFA serait plus crédible si elle s’imposait des délais raisonnables dans ses prises de décisions. À c’est effet, elle pourrait prévoir une procédure de référé.
Que Dieu fasse justice au Burkina.