François Compaoré sort de son silence : « Quand le temps sera venu, nous rentrerons »
2 octobre 2017, 07:30, par
Joel Z
Quand on prend une décision de changer de nationalité, on ne revient plus en arrière. C’est ca être un Homme, affronter les conséquences de ses choix toute sa vie. Chacun mourra comme nos ancêtres, nos grands parents, nos parents, comme Salif DIALLO donc réfléchissez un peu sur le sort de l’au-delà. Restez ou vous êtes pour finir vos vieux jours sur terre. Je n’en veux pas au Blaiso mais plutôt au soit disant "petit président". Pour nous, vous êtes mort et la vie continue sans vous. Que Allah guide nos pas et nous pardonne tous !
Quand on prend une décision de changer de nationalité, on ne revient plus en arrière. C’est ca être un Homme, affronter les conséquences de ses choix toute sa vie. Chacun mourra comme nos ancêtres, nos grands parents, nos parents, comme Salif DIALLO donc réfléchissez un peu sur le sort de l’au-delà. Restez ou vous êtes pour finir vos vieux jours sur terre. Je n’en veux pas au Blaiso mais plutôt au soit disant "petit président". Pour nous, vous êtes mort et la vie continue sans vous. Que Allah guide nos pas et nous pardonne tous !