Limitation du nombre d’enfants à trois : Des Ouagalais divisés
19 août 2017, 15:34, par
Sidpasata-Veritas
Au Gabon, ils sont très peu nombreux, avec un pays immensément riche. Est-ce que c’est un pays développé ? Dans les années 70 la Haute Volta comptait un peu plis de 3 millions d’habitants, mais est-ce que le pays était développé ? Le Japon est un pays surpeuplé, mais est-ce un pays sous-développé ?
Je pense que les hommes politiques africains devraient mener le combat du développement par d’autres moyens que par une volonté de maîtriser mécaniquement la croissance démographique. On ne pourra jamais empêcher l’infidélité conjugale par les lois de l’État, même dans la dictature la plis totalitaire. Alors, comment contrôler le nombre d’enfants par femmes ? Combattons d’abord l’ignorance, la corruption et l’injustice. C’est beaucoup plus facile que de décider de combien d’enfant les femmes ont le droit de faire, alors que beaucoup de femmes dans nos pays n’existent pas dans les registres d’État civil, n’en parlons pas pour leurs enfants. Nos dirigeants sont effarants dés lors qu’il s’agît de faire de beaux discours pour masquer leurs responsabilités.
Au Gabon, ils sont très peu nombreux, avec un pays immensément riche. Est-ce que c’est un pays développé ? Dans les années 70 la Haute Volta comptait un peu plis de 3 millions d’habitants, mais est-ce que le pays était développé ? Le Japon est un pays surpeuplé, mais est-ce un pays sous-développé ?
Je pense que les hommes politiques africains devraient mener le combat du développement par d’autres moyens que par une volonté de maîtriser mécaniquement la croissance démographique. On ne pourra jamais empêcher l’infidélité conjugale par les lois de l’État, même dans la dictature la plis totalitaire. Alors, comment contrôler le nombre d’enfants par femmes ? Combattons d’abord l’ignorance, la corruption et l’injustice. C’est beaucoup plus facile que de décider de combien d’enfant les femmes ont le droit de faire, alors que beaucoup de femmes dans nos pays n’existent pas dans les registres d’État civil, n’en parlons pas pour leurs enfants. Nos dirigeants sont effarants dés lors qu’il s’agît de faire de beaux discours pour masquer leurs responsabilités.