Missions sans pièces justificatives : Les députés ont un incroyable talent !
14 août 2017, 00:29, par
soucieux pour mon pays
Un adage chez les mossé dit que"te frapper, c’est parce que tu n’as pas de force. Mais te trainer partout, c’est parce que tun’as pas quelqu’un qui te soutient".
Ce que nos..., pardon, les députés font, la population devrait demander la dissolution pure et simple de l’Assemblée Nationale. Dans le cas contraire, tout le monde doit se taire et observer.
Il y a quelques mois seulement, c’était une histoire de tablettes. A peine les députés ont fait semblant d’avoir regretté, les voici encore dans des contre-exemples. Et si Me Bénéwendé Sankara est virilent à tort vis-à-vis du "Courrier Confidentiel", c’est très dangereux pour la Nation toute entière. Certains militants de l’UNIR/PS lui avaient la possibilité de rejoindre la mouvance, mais de là à adopter des pratiques et des manoeuvres du temps du régime Compaoré, c’est intolérable pour lui. Et il le saura si au bout du compte ses tentatives de justification relèvent de simples manoeuvre, surtout qu’il commence à insulter le journal. Que Dieu sauve le Burkina Faso
Un adage chez les mossé dit que"te frapper, c’est parce que tu n’as pas de force. Mais te trainer partout, c’est parce que tun’as pas quelqu’un qui te soutient".
Ce que nos..., pardon, les députés font, la population devrait demander la dissolution pure et simple de l’Assemblée Nationale. Dans le cas contraire, tout le monde doit se taire et observer.
Il y a quelques mois seulement, c’était une histoire de tablettes. A peine les députés ont fait semblant d’avoir regretté, les voici encore dans des contre-exemples. Et si Me Bénéwendé Sankara est virilent à tort vis-à-vis du "Courrier Confidentiel", c’est très dangereux pour la Nation toute entière. Certains militants de l’UNIR/PS lui avaient la possibilité de rejoindre la mouvance, mais de là à adopter des pratiques et des manoeuvres du temps du régime Compaoré, c’est intolérable pour lui. Et il le saura si au bout du compte ses tentatives de justification relèvent de simples manoeuvre, surtout qu’il commence à insulter le journal. Que Dieu sauve le Burkina Faso