Miss Burkina 2017 : Princesse Sévérine Poadiagué s’adjuge la couronne
13 août 2017, 09:41, par
Jean-Paul
C’est vraiment marrant ces histoires de Miss. Je pense que les femmes feront mieux de pensé à autres choses que de venir s’exhiber devant le public et, inconfortables devant ces âneries, essaient de se justifier en notifiant au passage que la beauté n’est pas que seulement physique mais est aussi intellectuelle. Durant vos défilés, lequel de votre aspect intellectuel à été valorisé devant le public et qui a contribué à votre élection. J’aurais plutôt voulu voir un concours de femmes leaders, qui se battent pour le droit des femmes, qui font passer des lois à l’Assemblée nationale pour protéger la femme.
Qu’est-ce que votre concours Miss apporte à la veuve opprimée, à la fille de ménage ("bonne") exploitée et humiliée, à ma mère, grande-mère qui vit misérablement en marge de la société, sans aide de l’État. Et ce concours Miss à été parrainé par l’épouse du président de l’Assemblée nationale. Qu’elle aille dire à son mari qu’il y a encore des millions de femmes dans ce pays qui n’ont aucun droit, parcequ’il n’y a pas de lois pour les protéger.
C’est vraiment marrant ces histoires de Miss. Je pense que les femmes feront mieux de pensé à autres choses que de venir s’exhiber devant le public et, inconfortables devant ces âneries, essaient de se justifier en notifiant au passage que la beauté n’est pas que seulement physique mais est aussi intellectuelle. Durant vos défilés, lequel de votre aspect intellectuel à été valorisé devant le public et qui a contribué à votre élection. J’aurais plutôt voulu voir un concours de femmes leaders, qui se battent pour le droit des femmes, qui font passer des lois à l’Assemblée nationale pour protéger la femme.
Qu’est-ce que votre concours Miss apporte à la veuve opprimée, à la fille de ménage ("bonne") exploitée et humiliée, à ma mère, grande-mère qui vit misérablement en marge de la société, sans aide de l’État. Et ce concours Miss à été parrainé par l’épouse du président de l’Assemblée nationale. Qu’elle aille dire à son mari qu’il y a encore des millions de femmes dans ce pays qui n’ont aucun droit, parcequ’il n’y a pas de lois pour les protéger.