Communes de Gorom-Gorom et de Oursi : Les pluies de la nuit de 22 juillet ont fait deux morts
25 juillet 2017, 08:35, par
afia
Toutes mes condoléances aux familles des disparus. et courage à tous ceux qui sont touché. Je veux dire que les peulhs ont le bétail mais ils ne construisent jamais de bonnes maisons. Vendre peut être deux bœufs et faire une bonne fondation c’est pas leur problème. Quand on vit, la première des choses c’est d’avoir une bonne maison d’habitation pour pouvoir se loger tranquille. Les femmes dans les villages, hors mis les femmes gourounsi, malgré que les peulhs possèdent le monopole des bouses des bœufs, elles ne crépis pas les maisons. Les bouses de bœufs mélangés à l’argile ou à la terre des termitières rendent la maison plus solide, fort comme du ciment. En traversant certains villages on se demande s’il y a des femmes qui habitent dans ces maisons. Les maisons vieillissent et s’écroulent avec les briques comme elles sont construites. Je voudrais proposer aux Maires des communes rurales d’organiser et poser un prix pour opération manamana qui invitera les femmes après les récoltes à crépir les concessions chaque année. Chez nous, chaque année après les récoltes automatiquement les femmes en font leur priorité avant d’entamer leurs petits commerces.
Toutes mes condoléances aux familles des disparus. et courage à tous ceux qui sont touché. Je veux dire que les peulhs ont le bétail mais ils ne construisent jamais de bonnes maisons. Vendre peut être deux bœufs et faire une bonne fondation c’est pas leur problème. Quand on vit, la première des choses c’est d’avoir une bonne maison d’habitation pour pouvoir se loger tranquille. Les femmes dans les villages, hors mis les femmes gourounsi, malgré que les peulhs possèdent le monopole des bouses des bœufs, elles ne crépis pas les maisons. Les bouses de bœufs mélangés à l’argile ou à la terre des termitières rendent la maison plus solide, fort comme du ciment. En traversant certains villages on se demande s’il y a des femmes qui habitent dans ces maisons. Les maisons vieillissent et s’écroulent avec les briques comme elles sont construites. Je voudrais proposer aux Maires des communes rurales d’organiser et poser un prix pour opération manamana qui invitera les femmes après les récoltes à crépir les concessions chaque année. Chez nous, chaque année après les récoltes automatiquement les femmes en font leur priorité avant d’entamer leurs petits commerces.