Politique : Salif Diallo a rencontré Guillaume Soro, son « frère de case »
13 juillet 2017, 10:13, par
mon avis
Je ne pense pas qu’il est facile non plus pour deux personnes ennemies de s’assoir pour gérer dans la cordialité les intérêts de leurs pays. On peut voir souvent positivement les choses, même si elles sont dites ou viennent de l’autre.
Je ne pense pas qu’il est facile non plus pour deux personnes ennemies de s’assoir pour gérer dans la cordialité les intérêts de leurs pays. On peut voir souvent positivement les choses, même si elles sont dites ou viennent de l’autre.