Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Partenariat public-privé (PPP) : L’entente directe telle que prévue ne répond pas aux principes de cohérence et d’efficience selon le Pr Idrissa Ouédraogo
10 juillet 2017, 07:08, par
Sapience
Monsieur Georges Ouédraogo,
L’écrit n’embrouille personne et je ne suis pas sûr que vous avez lu la réflexion du début à la fin. Vous parlez des exemples d’autres pays de la sous-région, désolé, ces pays se distinguent du Burkina Faso à bien les comparé. Le Burkinabè est plus affairiste que l’ivoirien par exemple.
En plus vous parlez de résultats en 2020. L’obsession de résultats ne doit constituer un passe-droit. Si le MPP est si courageux qu’il soumette une loi qui engage leur responsabilité en cas d’échec, de détournement, etc des projets objets de la loi du 3 juillet 2017. La redevabilité, concept cher à notre président de l’assemblée.
La redevabilité engage la responsabilité du dirigeant pendant et après son mandat à la tête de son pays. Or, la plupart des dirigeants africains règnent comme s’ils n’avaient de comptes à rendre à personne, […]. — (Pierre Ndoumaï, Indépendance et néocolonialisme en Afrique : Bilan d’un courant dévastateur, page 52, 2011)
Monsieur Georges Ouédraogo,
L’écrit n’embrouille personne et je ne suis pas sûr que vous avez lu la réflexion du début à la fin. Vous parlez des exemples d’autres pays de la sous-région, désolé, ces pays se distinguent du Burkina Faso à bien les comparé. Le Burkinabè est plus affairiste que l’ivoirien par exemple.
En plus vous parlez de résultats en 2020. L’obsession de résultats ne doit constituer un passe-droit. Si le MPP est si courageux qu’il soumette une loi qui engage leur responsabilité en cas d’échec, de détournement, etc des projets objets de la loi du 3 juillet 2017. La redevabilité, concept cher à notre président de l’assemblée.
La redevabilité engage la responsabilité du dirigeant pendant et après son mandat à la tête de son pays. Or, la plupart des dirigeants africains règnent comme s’ils n’avaient de comptes à rendre à personne, […]. — (Pierre Ndoumaï, Indépendance et néocolonialisme en Afrique : Bilan d’un courant dévastateur, page 52, 2011)