Détention « arbitraire » du Gal. Djibrill Bassolé : Il n’en est rien, selon le garde des Sceaux, René Bagoro
10 juillet 2017, 10:49, par
molomolo
Burkinbila17,
Mais Bagoro n’a pas le choix. Il doit tout à Roch et à Salif. S’il est garçon, il n’a qu’à dire la vérité et je vous donne un mois pour voir ce qui va lui arriver. On reconnaît la valeur de l’homme devant le choix entre la honte et la compromission les plus abjectes et immorales, et la vérité et la justice. Car on ne donne jamais rien à quelqu’un pour dire la vérité mais nous savons que le mensonge s’achète à coups de millions.
Burkinbila17,
Mais Bagoro n’a pas le choix. Il doit tout à Roch et à Salif. S’il est garçon, il n’a qu’à dire la vérité et je vous donne un mois pour voir ce qui va lui arriver. On reconnaît la valeur de l’homme devant le choix entre la honte et la compromission les plus abjectes et immorales, et la vérité et la justice. Car on ne donne jamais rien à quelqu’un pour dire la vérité mais nous savons que le mensonge s’achète à coups de millions.