Violence sur l’animateur Hamed Kossa : Les organisations professionnelles des médias audiovisuels soutiennent radio Oméga
3 juillet 2017, 12:40, par
KABAKOUROU
Le Burkina Faso est un pays de paix et de tolérance. ces valeurs qui sont d’ailleurs chantées par plusieurs artistes. Le dialogue soigne tous les maux.
Cet acte de violence mérite d’être condamné et que les responsabilités soient situées. Mais cela ne signifie pas que l’on peut se faire justice et que cette position de victime procure tous les droits et réclamations utopiques. Les promoteurs de médias doivent se remettre en questions car ceci est un constat plus que général. Quant aux chanteurs, le rastafarisme est la culture de la paix et la tolerence. Si vous connaissez mieux votre mouvement vous sauriez qu’il bannit la violence. Faites l’effort de faire de la bonne musique qui mérite d’être écouter. Faites de la musique mure et bien réfléchie. Vous verrez que nous allons bien écouter.
les deux parties confondues :
- introduisez la procédure judiciaire
- stoppez vos réclamations "bidons"
- et dites aux animateurs qu’ils ne sont pas des dieux vivants
- établissez un dialogue
- et n’oubliez pas que vos premiers employeurs sont les populations
Le Burkina Faso est un pays de paix et de tolérance. ces valeurs qui sont d’ailleurs chantées par plusieurs artistes. Le dialogue soigne tous les maux.
Cet acte de violence mérite d’être condamné et que les responsabilités soient situées. Mais cela ne signifie pas que l’on peut se faire justice et que cette position de victime procure tous les droits et réclamations utopiques. Les promoteurs de médias doivent se remettre en questions car ceci est un constat plus que général. Quant aux chanteurs, le rastafarisme est la culture de la paix et la tolerence. Si vous connaissez mieux votre mouvement vous sauriez qu’il bannit la violence. Faites l’effort de faire de la bonne musique qui mérite d’être écouter. Faites de la musique mure et bien réfléchie. Vous verrez que nous allons bien écouter.
les deux parties confondues :
- introduisez la procédure judiciaire
- stoppez vos réclamations "bidons"
- et dites aux animateurs qu’ils ne sont pas des dieux vivants
- établissez un dialogue
- et n’oubliez pas que vos premiers employeurs sont les populations