Hôpital Yalgado : Un homme enterré à la place d’un autre
4 juin 2017, 22:05, par
Voltaïque Indigné
Encore une conséquence de la gestion mouta-mouta en vogue dans le Burkina de l’après insurrection. Le directeur de l’hôpital doit revoir les procédures de gestion de la morgue. Les morts doivent être considéré comme des biens précieux donc bien identifiés avec les références de leur pieces. L’ entrée et la sortie de mort doit faire l’objet de contrôle stricte de 2 personnes différentes il est souhaitable que la police y soit associée comme lors de rapatriement d’un corps. Si l’hôpital n’est pas capable de gérer la morgue qu’il la privatise.
La famille qui a subi le préjudice doit prendre un avocat et porter plainte contre l’hôpital sans état d’âme, sans plaisir et sans pitié : les morts ça se respecte ce n’est pas des ordures pour a poubelle.
Encore une conséquence de la gestion mouta-mouta en vogue dans le Burkina de l’après insurrection. Le directeur de l’hôpital doit revoir les procédures de gestion de la morgue. Les morts doivent être considéré comme des biens précieux donc bien identifiés avec les références de leur pieces. L’ entrée et la sortie de mort doit faire l’objet de contrôle stricte de 2 personnes différentes il est souhaitable que la police y soit associée comme lors de rapatriement d’un corps. Si l’hôpital n’est pas capable de gérer la morgue qu’il la privatise.
La famille qui a subi le préjudice doit prendre un avocat et porter plainte contre l’hôpital sans état d’âme, sans plaisir et sans pitié : les morts ça se respecte ce n’est pas des ordures pour a poubelle.