Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Cyberattaque mondiale : Le laxisme des informaticiens peut couter cher aux entreprises
18 mai 2017, 11:10, par
ZAROS
Le débat est très intéressent. Le véritable problème se situe au niveau de l’ignorance des responsables cumulée à un manque de conscience professionnelle. J’ajouterai également le manque d’arguments ou d’idées nécessaires aux informaticiens afin de choquer les responsables d’entreprises à travers un exposé des éventuels pertes que l’entreprise subirait en cas d’attaque. Cette perte chiffrée dans un intervalle de temps attirera l’attention de n’importe quel responsable sur la nécessité de prendre des mesures préventives. Il appartient également aux techniciens que nous sommes d’attirer l’attention de la hiérarchie sur le danger que pourrait occasionner l’utilisation d’application craquée ou de provenance douteuse ou incertaine(ex : Kaspersky à 2000F ou 3000F ou 4000F). En plus d’un exposé oral, une interpellation par e-mail pourrait blanchir le technicien grâce à la traçabilité du mail si toutefois l’insouciance des responsables occasionne des dégâts à l’issue d’un piratage. Il appartient aux techniciens de toujours interpeller en mettant en exergue les éventuelles pertes chiffrées en cas d’attaque ainsi que les solutions préventives possibles. Des séances de sensibilisation aux utilisateurs sur les bonnes pratiques réduisant le risque de piratage informatique ainsi qu’un règlement intérieur ou un code d’utilisation des ordinateurs et périphériques est nécessaire pour une sécurité minimale. Nous n’occultons pas également le besoin de formation et de recyclage permanent aux informaticiens ainsi que les moyens requis à la mise en oeuvre d’une bonne politique de sécurité informatique. Le terrorisme a une autre forme qui est le piratage informatique ; donc donnons nous les moyens de le contrer.
Le débat est très intéressent. Le véritable problème se situe au niveau de l’ignorance des responsables cumulée à un manque de conscience professionnelle. J’ajouterai également le manque d’arguments ou d’idées nécessaires aux informaticiens afin de choquer les responsables d’entreprises à travers un exposé des éventuels pertes que l’entreprise subirait en cas d’attaque. Cette perte chiffrée dans un intervalle de temps attirera l’attention de n’importe quel responsable sur la nécessité de prendre des mesures préventives. Il appartient également aux techniciens que nous sommes d’attirer l’attention de la hiérarchie sur le danger que pourrait occasionner l’utilisation d’application craquée ou de provenance douteuse ou incertaine(ex : Kaspersky à 2000F ou 3000F ou 4000F). En plus d’un exposé oral, une interpellation par e-mail pourrait blanchir le technicien grâce à la traçabilité du mail si toutefois l’insouciance des responsables occasionne des dégâts à l’issue d’un piratage. Il appartient aux techniciens de toujours interpeller en mettant en exergue les éventuelles pertes chiffrées en cas d’attaque ainsi que les solutions préventives possibles. Des séances de sensibilisation aux utilisateurs sur les bonnes pratiques réduisant le risque de piratage informatique ainsi qu’un règlement intérieur ou un code d’utilisation des ordinateurs et périphériques est nécessaire pour une sécurité minimale. Nous n’occultons pas également le besoin de formation et de recyclage permanent aux informaticiens ainsi que les moyens requis à la mise en oeuvre d’une bonne politique de sécurité informatique. Le terrorisme a une autre forme qui est le piratage informatique ; donc donnons nous les moyens de le contrer.