Agression d’un journaliste par un gendarme : Le MBDHP invite les autorités à faire la lumière
16 mai 2017, 21:05, par
sidwaya sorgho gomis
Quelque soit la faute commise par le journaliste, un gendarme professionnel digne d’appartenir à la sécurité d’un président de la république, doit être à même de le rappeler à l’ordre sans brutalité. C’est avant tout une question de professionnalisme ce qui inclut bien sûr une bonne éducation à la citoyenneté.
Remarquez messieurs nos chers gendarmes et autres éléments des FDS : les vrais agents de sécurité ne brutalisent jamais en public les éventuels contrevenants aux consignes de sécurité. Ils les obligent à obéir calmement mais fermement. Parce que brutaliser sur les lieux un contrevenant aux consignes de sécurité c’est porter atteinte à la sécurité d’un participant à l’évènement et si les participants ne se sentent pas en sécurité cela peut porter atteinte à la sécurité de la personne dont vous assurez la sécurité.
Imaginez que le public témoin de la scène ait exprimé "bruyamment" son indignation et sa nervosité face au comportement du gendarme : qui du Président du Faso et du journaliste aurait été le plus mal à l’aise ?
Quelque soit la faute commise par le journaliste, un gendarme professionnel digne d’appartenir à la sécurité d’un président de la république, doit être à même de le rappeler à l’ordre sans brutalité. C’est avant tout une question de professionnalisme ce qui inclut bien sûr une bonne éducation à la citoyenneté.
Remarquez messieurs nos chers gendarmes et autres éléments des FDS : les vrais agents de sécurité ne brutalisent jamais en public les éventuels contrevenants aux consignes de sécurité. Ils les obligent à obéir calmement mais fermement. Parce que brutaliser sur les lieux un contrevenant aux consignes de sécurité c’est porter atteinte à la sécurité d’un participant à l’évènement et si les participants ne se sentent pas en sécurité cela peut porter atteinte à la sécurité de la personne dont vous assurez la sécurité.
Imaginez que le public témoin de la scène ait exprimé "bruyamment" son indignation et sa nervosité face au comportement du gendarme : qui du Président du Faso et du journaliste aurait été le plus mal à l’aise ?