Journalistes : Les enfants mal aimés du quatrième pouvoir
15 mai 2017, 10:14, par
Mawuéna
Je ne suis pas pour la violence. Le discernement est aisé quand on analyse à posteriori : le journaliste "lapideur" de Bush avait accédé à la salle. Comment aurait réagi la sécurité du président si au lieu d’une chaussure, c’est une caméra piégée qui avait été utilisé comme pour l’assassinat du commandant Massoud ? Où serait le discernement ? Avoir une accréditation c’est bien mais être au lieu dit à temps pour permettre à la sécurité de faire son travail c’est mieux. Quand une cérémonie réussit c’est que les différentes équipes ont travaillé à la chaîne et à la "perfection". Prompte rétablissement Mr Sanogo !
Je ne suis pas pour la violence. Le discernement est aisé quand on analyse à posteriori : le journaliste "lapideur" de Bush avait accédé à la salle. Comment aurait réagi la sécurité du président si au lieu d’une chaussure, c’est une caméra piégée qui avait été utilisé comme pour l’assassinat du commandant Massoud ? Où serait le discernement ? Avoir une accréditation c’est bien mais être au lieu dit à temps pour permettre à la sécurité de faire son travail c’est mieux. Quand une cérémonie réussit c’est que les différentes équipes ont travaillé à la chaîne et à la "perfection". Prompte rétablissement Mr Sanogo !