Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’
15 mai 2017, 17:36, par
kzal
Merci mon frère chapité ! Il fallait que ces journalistes arrogants qui se croient super citoyens voient l’image de ce photographe qui s’est fait traîné comme un bambin étourdi par un membre de la sécurité devant le président E.Macron lors de la visite de ce dernier à la tombe du soldat inconnu. C’aurait été ici (BF), on nous aurait percé les tympans par toutes sortes de ridicules plaintes.
C’est écoeurant d’entendre certains journalistes crier honteusement à l’acharnement sous prétexte que d’autres personnes avaient franchi la même barrière bien avant Mr G. Sanogo sans que le même gendarme en faction n’est bronché mot. On ne brûle pas le feu rouge parce que d’autres le font. C’est une question de civisme. Votre confrère a juste eu la malchance d’être là au moment où le gendarme, lassé et débordé par le comportement des anarchistes comme lui, a perdu son sang froid et a alors décidé de sévir. Moi je dirai que M. Sanogo l’a bien mérité. Il est président de l’AJB, il devrait donc respecter son titre en n’essayant pas d’imiter les "n’importe qui" qui ne respectent pas les consignes de sécurité. Il s’est comporté comme "n’importe qui" et il a été traité comme"n’importe qui". Et je suis même convaincu que le sieur Sanogo, au lieu de s’excuser pour l’infraction commise, a tenu des propos certainement "durs" à l’égard du gendarme qui, pour moi, n’a fait que sont travail.
Merci mon frère chapité ! Il fallait que ces journalistes arrogants qui se croient super citoyens voient l’image de ce photographe qui s’est fait traîné comme un bambin étourdi par un membre de la sécurité devant le président E.Macron lors de la visite de ce dernier à la tombe du soldat inconnu. C’aurait été ici (BF), on nous aurait percé les tympans par toutes sortes de ridicules plaintes.
C’est écoeurant d’entendre certains journalistes crier honteusement à l’acharnement sous prétexte que d’autres personnes avaient franchi la même barrière bien avant Mr G. Sanogo sans que le même gendarme en faction n’est bronché mot. On ne brûle pas le feu rouge parce que d’autres le font. C’est une question de civisme. Votre confrère a juste eu la malchance d’être là au moment où le gendarme, lassé et débordé par le comportement des anarchistes comme lui, a perdu son sang froid et a alors décidé de sévir. Moi je dirai que M. Sanogo l’a bien mérité. Il est président de l’AJB, il devrait donc respecter son titre en n’essayant pas d’imiter les "n’importe qui" qui ne respectent pas les consignes de sécurité. Il s’est comporté comme "n’importe qui" et il a été traité comme"n’importe qui". Et je suis même convaincu que le sieur Sanogo, au lieu de s’excuser pour l’infraction commise, a tenu des propos certainement "durs" à l’égard du gendarme qui, pour moi, n’a fait que sont travail.