Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Incident gendarme-journaliste : Aux apôtres de la violence ‘’gratuite ‘’
15 mai 2017, 08:20, par
Un citoyen
M. SAWADOGO, je suis désolé mais votre texte n’est que celui d’un avocat qui glane des alibis pour défendre son client, pardon son collègue.Un peu d’objectivité dans vos prises de position vous êtes avant tout un journaliste et non l’avocat de votre confère. Je ne suis pas un adepte de la violence mais dé là à dédouaner entièrement M. SANOGO, j’émets des réserves. Le point de vue du Président et son chef de sécurité relève du besoin d’apaisement, ouvrez les yeux un peu. Vous vous attendez qu’ils sortent féliciter le gendarme pour avoir frappé un journaliste ? quand même, même un enfant de 10 ans devinerais aisément ce que diras le Président dans de telles circonstances. Vous même l’avez dit, vous ignorez quel étais le contenu des échanges entres les protagonistes, alors ce contenu peut justifier la suite. Si le gendarme avait laissé pas un jihadiste avec un faux badge de presse commettre un quelconque attentat, on ne serait pas là à défendre aveuglement un confrère. Messierus les journalistes, les ménaces terroristes sont réelles, alors respectez les consignes de sécurité, il y va de nos interêts à tous. Sans rancune et prompte rétabilssement au journaliste !
M. SAWADOGO, je suis désolé mais votre texte n’est que celui d’un avocat qui glane des alibis pour défendre son client, pardon son collègue.Un peu d’objectivité dans vos prises de position vous êtes avant tout un journaliste et non l’avocat de votre confère. Je ne suis pas un adepte de la violence mais dé là à dédouaner entièrement M. SANOGO, j’émets des réserves. Le point de vue du Président et son chef de sécurité relève du besoin d’apaisement, ouvrez les yeux un peu. Vous vous attendez qu’ils sortent féliciter le gendarme pour avoir frappé un journaliste ? quand même, même un enfant de 10 ans devinerais aisément ce que diras le Président dans de telles circonstances. Vous même l’avez dit, vous ignorez quel étais le contenu des échanges entres les protagonistes, alors ce contenu peut justifier la suite. Si le gendarme avait laissé pas un jihadiste avec un faux badge de presse commettre un quelconque attentat, on ne serait pas là à défendre aveuglement un confrère. Messierus les journalistes, les ménaces terroristes sont réelles, alors respectez les consignes de sécurité, il y va de nos interêts à tous. Sans rancune et prompte rétabilssement au journaliste !