Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Projets et programmes agricoles : Les acteurs du monde rural veulent être omniprésents
14 mai 2017, 04:48, par
warzat
Ce que nous enseigne le cours de phytotechnie et qui est retrouvé dans le monde agricole réel est : un bon agriculteur est avant tout un bon spéculateur. Cela veut dire qu’au regard de facteurs limitants comme’’ les variations climatiques’’, combiner plusieurs cultures (ex légumineuses et céréales) permet de limiter la casse au cas où. C’est d’autant plus vrai aujourd’hui où la monoculture a montré ses limites partout dans le monde. Il revient dans l’actualité que bagrépole présente de grandes insuffisances ; en son temps, j’avais écrit que l’imposition des spéculations allait poser des problèmes et qu’il fallait laisser à l’agriculteur le choix de la spéculation ; pourvu qu’il paie sa redevance de l’eau. Les théories bureaucratiques, les jongleries politiques et autres intérêts partisans locaux ou nationaux ne marchent pas dans l’agriculture. C’est un travail harassant qui demande de la vigilance au quotidien et un timing sans faille. La terre ne ment pas. Il faut aimer un tel travail pour le faire A défaut que les commandes se fassent en amont : l’état veut tant de tonnes de riz livrés à tel date et à tel prix et laisser les agriculteurs s’organiser pour répondre à la demande. Ne pas attendre un an pour les payer comme pour le coton alors que dès le 25 du mois les salariés de l’état vont émarger. Alors les importations de riz vont baisser et l’argent restant affecté à d’autres priorités.
Ce que nous enseigne le cours de phytotechnie et qui est retrouvé dans le monde agricole réel est : un bon agriculteur est avant tout un bon spéculateur. Cela veut dire qu’au regard de facteurs limitants comme’’ les variations climatiques’’, combiner plusieurs cultures (ex légumineuses et céréales) permet de limiter la casse au cas où. C’est d’autant plus vrai aujourd’hui où la monoculture a montré ses limites partout dans le monde. Il revient dans l’actualité que bagrépole présente de grandes insuffisances ; en son temps, j’avais écrit que l’imposition des spéculations allait poser des problèmes et qu’il fallait laisser à l’agriculteur le choix de la spéculation ; pourvu qu’il paie sa redevance de l’eau. Les théories bureaucratiques, les jongleries politiques et autres intérêts partisans locaux ou nationaux ne marchent pas dans l’agriculture. C’est un travail harassant qui demande de la vigilance au quotidien et un timing sans faille. La terre ne ment pas. Il faut aimer un tel travail pour le faire A défaut que les commandes se fassent en amont : l’état veut tant de tonnes de riz livrés à tel date et à tel prix et laisser les agriculteurs s’organiser pour répondre à la demande. Ne pas attendre un an pour les payer comme pour le coton alors que dès le 25 du mois les salariés de l’état vont émarger. Alors les importations de riz vont baisser et l’argent restant affecté à d’autres priorités.