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Journée nationale du paysan à Kaya : Un gendarme agresse un journaliste, le président du Faso réagit

14 mai 2017, 11:07, par SID YA NAABA

Je pense que les journalistes doivent se prendre pour des Burkinabè. Comme ils ont la plume et le micro pour toujours réagir à volonté ils se croient tout permis. Avez vous demandé au gendarme ce qui c’est réellement passé et qu’est ce que le journaliste a dit ? Soyons juste.
Il n’y a pas de démie sécurité. La sécurité est totale ou n’est pas. En Afganistan se sont des journalistes qui ont piégé le Commandant Massoud avec une caméra qui a explosé. Qu’est ce qui prouve que cela ne peut pas arriver au Burkina Faso en ces temps ou le terrorisme a pion sur roue ? Le gendarme a fait son travail. Assurer la sécurité du Chef de l’Etat et de la cérémonie. Pendant le procès du dernier gouvernement de Blaise se sont les mêmes journalistes qui se plaignaient d’être soumis aux contrôles alors qu’ils ont leur badges. Meme avec les badges vous devez être contrôlés. Le badge c’est pour dire que vous êtes journaliste comme quelqu’un qui porte la blouse à l’hopital. Un controle c’est juste deux minutes max et vous passez si vous êtes honnêtes. Si non un homme de tenue en tenue devrait pouvoir entrer sans contrôle.
Que les journalistes acceptent comme tous les burkinabè a se soumettre aux contrôles, c’est un acte de patriotisme. Tout autre chose relève de l’indiscipline.
Monsieur le gendarme vous auriez du vous calmer mais je ne vous condamne pas vous avez fait votre travail car pas de démie sécurité. TOUS autant que nous sommes devons respecter la sécurité même les JOURNALISTES du Burkina Faso. Accepter de vous soumettre aux contrôles un point un trait personne ne peut présager d’ou vient le danger.
La liberté des uns s’arrête la ou commence celle des autres. A chacun SA BOULOT laissez les autres faire leur BOULOT. Monsieur les journalistes, revoyé votre copie, organiser des rencontres pour vous former sur les aspects de citoyenneté car on a l’impression que vous agissez de façon mécanique quelque soit l’acte posé par un d’entre vous. Une genre solidarité aveugle qui n’ennoblit pas celui qui la pratique.


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