Journée nationale du paysan à Kaya : Un gendarme agresse un journaliste, le président du Faso réagit
12 mai 2017, 18:16, par
ELKABOR
Honte à tous ceux qui tentent de justifier la brutalité et la barbarie du gendarme envers le journaliste. Le 15 janvier 2016, il était où ce gendarme quand des gamins munis de kalashnikov sont venus semer la mort à Cappuchino et à Splendid hôtel ! Il a fallu des forces étrangères pour venir secourir nos pauvres FDS pendant que ces gens semaient la terreur. En plein jour, un journaliste muni de son badge ne doit pas être bastonné de la sorte, quoi qu’il ait fait. Il y avait des moyens de l’éconduire plus proprement que de le blesser. C’est de la barbarie et rien ne saurait le justifier. Il a souillé sa tenue du sang de cet innocent de journaliste. "Je suis Sanogo !".
Honte à tous ceux qui tentent de justifier la brutalité et la barbarie du gendarme envers le journaliste. Le 15 janvier 2016, il était où ce gendarme quand des gamins munis de kalashnikov sont venus semer la mort à Cappuchino et à Splendid hôtel ! Il a fallu des forces étrangères pour venir secourir nos pauvres FDS pendant que ces gens semaient la terreur. En plein jour, un journaliste muni de son badge ne doit pas être bastonné de la sorte, quoi qu’il ait fait. Il y avait des moyens de l’éconduire plus proprement que de le blesser. C’est de la barbarie et rien ne saurait le justifier. Il a souillé sa tenue du sang de cet innocent de journaliste. "Je suis Sanogo !".