Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Meeting du 29 avril 2017 : Bilan satisfaisant, selon le CFOP
5 mai 2017, 16:27, par
Cheick Omar
Merci au CFOP et aux différents partis politiques, aux militants et sympathisants, membres d’organisations de la société civile (intègres) et tous ceux qui ont contribué à la réussite et à l’éclat de cette manifestation. Et encore merci au CFOP, avec son ouverture d’esprit et surtout, ses qualités managériales qui ont toujours accompagner sa mission. Moi qui m’impatientait à propos du silence de l’opposition qui semblait laisser le terrain aux aventuriers, surpris d’arriver au pouvoir. Maintenant, ils frémissent au moindre mouvement de l’opposition. Les recettes concoctées à la hâte ne marche point. Et je demande au CFOP d’appuyer là où ça fait le plus mal, à savoir leur PNDES qui se révèle être un mirage. Avec ses 18 000 milliards qui doivent pleuvoir sur notre cher Faso pendant 5 ans, pardon les 3ans et quelques mois qui restent. Aujourd’hui, l’heure est à la mobilisation et ça ne fait que commencer. Et les lamentations du sieur ministre Barry n’y feront rien.
Merci au CFOP et aux différents partis politiques, aux militants et sympathisants, membres d’organisations de la société civile (intègres) et tous ceux qui ont contribué à la réussite et à l’éclat de cette manifestation. Et encore merci au CFOP, avec son ouverture d’esprit et surtout, ses qualités managériales qui ont toujours accompagner sa mission. Moi qui m’impatientait à propos du silence de l’opposition qui semblait laisser le terrain aux aventuriers, surpris d’arriver au pouvoir. Maintenant, ils frémissent au moindre mouvement de l’opposition. Les recettes concoctées à la hâte ne marche point. Et je demande au CFOP d’appuyer là où ça fait le plus mal, à savoir leur PNDES qui se révèle être un mirage. Avec ses 18 000 milliards qui doivent pleuvoir sur notre cher Faso pendant 5 ans, pardon les 3ans et quelques mois qui restent. Aujourd’hui, l’heure est à la mobilisation et ça ne fait que commencer. Et les lamentations du sieur ministre Barry n’y feront rien.