Salut mon cher yassikiri.
C’est toujours bon d’être tolérant. Ne cherchons pas la disparition des Kundé car grâce à cet événement de grosses pointures de la musique africaine comme Eddy Kenzo, Niboma, etc. ont foulé le sol burkinabè, sans oublié que l’entreprise de Jah Press au-delà du côté un peu commercial, reste très noble à mon sens.
Salut mon cher yassikiri.
C’est toujours bon d’être tolérant. Ne cherchons pas la disparition des Kundé car grâce à cet événement de grosses pointures de la musique africaine comme Eddy Kenzo, Niboma, etc. ont foulé le sol burkinabè, sans oublié que l’entreprise de Jah Press au-delà du côté un peu commercial, reste très noble à mon sens.