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« Ça m’étonne qu’une trentaine de partis politiques se réunissent pour pondre un argument aussi bas, aussi terre-à-terre », Zéphirin Diabré au sujet de la réaction de la majorité présidentielle sur le meeting du 29 avril
Merci Président Zeph pour la clarté, la pertinence et la quintessence de vos propos. Il n’est pas de doute que les RSS et autres thuriféraires éprouvent une peur bleue du Chef de file de l’opposition. C’est pourquoi, lorsque celui-ci commence à éternuer ils s’enrhument aussitôt ; larmoyant comme des gosses pris en train de marauder. Ils sont conscients qu’aussi bien intellectuellement qu’intrinsèquement ils n’arrivent pas à sa cheville. Aussi, quand le CFOP expose les forces de ses arguments sur des sujets donnés, ses contempteurs se contentent d’arguties ; ne pouvant plus utiliser les arguments de la force comme par le passé au summum de leur "gloire" avec le CDP lequel avait droit de vie ou de mort sur ses sujets.
C’est ce qui explique pourquoi ils se pressent lentement pour vider les "cadavres encombrants" des placards de Kosyam abandonnés par les fuyards, un certain 31 octobre 2014. Espérons que le procès-vedette de BC et son dernier gouvernement soit le début à cette opération de salubrité publique pour rendre justice à tous les dignes fils et filles du Faso tombés, les armes à la main, sous les balles assassines de félons et traîtres à la patrie. Ce serait alors le début de la réconciliation réclamée, à cor et à cri, par ceux-là qui hier seulement se targuaient que le Burkina n’avait pas de prisonniers politiques. En effet, en lieu et place de la prison, ils préféraient "la solution finale" en envoyant leurs contradicteurs, ad pâtre, manger les pissenlits par les racines. L’adage populaire le dit si bien : "le bourreau a peur du gourdin". "An lara na sara" (dixit le Pr Joseph Ki-Zerbo)
Tous les patriotes sont conviés à la maison du peuple le samedi 29 avril 2017 pour un franc succès du meeting du CFOP. Ils peuvent effectivement trembler car ce n’est que le début.
Que Dieu sauve le Faso !