« Le pays tangue, le pouvoir est grippé », selon le Coordonnateur du CED, Pascal Zaïda
23 avril 2017, 13:21, par
Wennonga Tounsba
Démocratie est ’’doux, doux’’ deh. On est capable d’organiser officiellement des activités au cours desquelles on dépeint en noir la situation nationale puis on sort crier que le pouvoir est grippé. Finalement on se demande si des gens ne sont pas entrain de tout faire pour gripper le pouvoir actuel au lieu de dire que le pouvoir est grippé. Ce que les hommes politiques doivent savoir (Zaida en est un) désormais c’est que manigancer pour revenir au pouvoir dans le secret espoir de rétablir ou de créer une une milice politique pour martyriser à volonté les populations n’est plus possible, pas pour le moment en tout cas. En plus, vouloir faire revenir Blaise aujourd’hui au Faso en dehors de la justice exige de lui un méaculpa sur sa nouvelle nationalité à contours trop flous.
Démocratie est ’’doux, doux’’ deh. On est capable d’organiser officiellement des activités au cours desquelles on dépeint en noir la situation nationale puis on sort crier que le pouvoir est grippé. Finalement on se demande si des gens ne sont pas entrain de tout faire pour gripper le pouvoir actuel au lieu de dire que le pouvoir est grippé. Ce que les hommes politiques doivent savoir (Zaida en est un) désormais c’est que manigancer pour revenir au pouvoir dans le secret espoir de rétablir ou de créer une une milice politique pour martyriser à volonté les populations n’est plus possible, pas pour le moment en tout cas. En plus, vouloir faire revenir Blaise aujourd’hui au Faso en dehors de la justice exige de lui un méaculpa sur sa nouvelle nationalité à contours trop flous.