Le mouvement citoyen « Y’EN A MARRE » à la CODER : « La réconciliation nationale est une question nationale et elle ne saurait se limiter à des accommodements… »

Ce CODER et ses actions-là, ce ne sont que de la "Politique - politicienne" des perdants qui cherchent à remonter les marches. Pour certains d’entre eux, les actions par eux menées s’expliquent d’autant plus que, faisant partie ou ayant fait parties de ceux qui ont perdu au "Jeu" de "je suis puissant, je fais ce que je veux et il n’y a rien". De ceux-là, on retiendra le CDP, l’ADF-RDA etc. Mais pour d’autres, c’est de l’équilibrisme pure et simple. Là où je me sens froissé, ce sont les procès d’intention par ces derniers faits à Blaise Compaoré en l’incriminant de ce que le peuple dans sa généralité lui a reproché car en son temps, il a plutôt écouté ces "grattes-pains" en occultant la majorité qu’est le peuple et ses problèmes. Ces mêmes malheureusement, s’étant aperçus à posteriori de leurs conneries reviennent avec ce "langage" propre aux lâches, aux opportunistes qui n’hésitent pas à trahir ; bousculer et s’asseoir à la place du Roi, même s’ils n’ont pas la carrure. Non seulement faire croire à Blaise que sans lui, il ne saurait y avoir une "Réconciliation entre les fils du pays", c’est lui faire comprendre qu’il est vraiment Responsable de toutes les misères par le peuple vécus. Or, c’est d’eux et d’eux seulement que tout est arrivé. Mieux, personne, je dis bien personne ne saurait dire que sur toute l’étendue du territoire burkinabé, une ethnie ne s’est opposée à une autre ethnie parce qu’il y a mésentente nécessaitnt une réconciliation. Ceci n’est qu’une guégerre entre les "faux politiciens jadis véreux" qui essayent de semer la zizanie des esprits des burkinabé en faisant croire à ceux-ci qu’il y a une réconciliation à engager et réussir nécessairement. Au bout de ce jeux, les mêmes se retrouveront une fois de plus aux perchoirs pour continuer de voler, de tricher. Le peuple burkinabé n’a de problème avec personne. Pas un Goin ne s’en prend à un peulh, pas un Bissa ne s’en prend à un Sénoufo, pas un Bwaba n’en veut à un Moaga ni à un Nouni ou encore un Casena de Pô. Dons Messieurs, cherchez votre Gombo si vous voulez, mais foutez la paix au peuple. Lâchez-nous les épaules parce qu’on veut danser et bien danser. Un burkibabé