Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Réconciliation nationale : La CODER a rencontré Blaise Compaoré à Abidjan
13 avril 2017, 03:17, par
le Burkina
Quelle joie pour moi de revoir en image le président Blaise Compaoré. On le disait malade et grabataire. Mais non ! En réalité, chacun est malade à quelque part. Face à la morosité de la vie au Burkina de ROCH (la rochosité selon le moaga Ablassé), les Burkinabè regrettent beaucoup. Notre pays est tombé de sa superbe. Le Burkina ne compte plus dans le concert des nations. A l’intérieur c’est chaud et à l’extérieur, nous ne sommes plus considérés. Nous retrouvons le Burkina des années 1980 : un pays qui se cherche. Mais, il y a le PNDES qui s’apparente à un dindon gonflé. Les promesses de rêve se révèlent être des flatteries surdimensionnées.
Je veux le bien de mon pays. Je déplore le fait que nous aillons les piètres gouvernants que le pays ait connus depuis son indépendance. La rhétorique politicienne ! Construisons notre pays main dans la main. Maintenant, je comprends le Général Diendiéré. Vive le Burkina.
Quelle joie pour moi de revoir en image le président Blaise Compaoré. On le disait malade et grabataire. Mais non ! En réalité, chacun est malade à quelque part. Face à la morosité de la vie au Burkina de ROCH (la rochosité selon le moaga Ablassé), les Burkinabè regrettent beaucoup. Notre pays est tombé de sa superbe. Le Burkina ne compte plus dans le concert des nations. A l’intérieur c’est chaud et à l’extérieur, nous ne sommes plus considérés. Nous retrouvons le Burkina des années 1980 : un pays qui se cherche. Mais, il y a le PNDES qui s’apparente à un dindon gonflé. Les promesses de rêve se révèlent être des flatteries surdimensionnées.
Je veux le bien de mon pays. Je déplore le fait que nous aillons les piètres gouvernants que le pays ait connus depuis son indépendance. La rhétorique politicienne ! Construisons notre pays main dans la main. Maintenant, je comprends le Général Diendiéré. Vive le Burkina.