Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Manifestation anti CFA : Loin de l’ambassade de France, mais avec le même message
11 avril 2017, 10:14, par
Mechtilde Guirma
Je trouve tout cela comme du bruit, du tintamarre inutile. Le proverbe moagha dit : « Tu n’as pas encore terrasser ce malabar de Raogo et tu es là en train de menacer la pauvre et frêle Poko » (Fo na pa luba Raogo yeta a Pok na sâ). En un mot il y a d’abord un aménagement intérieur à faire.
En effet chers amis voici ma réponse à ce fameux « projet de Constitution » qui ramène notre pays précisément à cent (100) ans en arrière :
Balancez-le donc par déçu bord, sans état d’âme et convoquez immédiatement une Constituante où nous viendrons tous et toutes défendre nos idées afin de poser d’abord une base forte pour la Vème République. C’est là où le bas blesse :
Cette « Inventivité », cette « Audace », nous permettra de « Conquêtes » historiques et d’ouverture de portes, même les plus rebelles sans coup férir dans l’amitié et dans un véritable partenariat et sans qu’ont ait besoin de jouer au rodomont ou au matamore devant les grandes puissances. Quand va-t-on enfin comprendre cela ?
Je trouve tout cela comme du bruit, du tintamarre inutile. Le proverbe moagha dit : « Tu n’as pas encore terrasser ce malabar de Raogo et tu es là en train de menacer la pauvre et frêle Poko » (Fo na pa luba Raogo yeta a Pok na sâ). En un mot il y a d’abord un aménagement intérieur à faire.
En effet chers amis voici ma réponse à ce fameux « projet de Constitution » qui ramène notre pays précisément à cent (100) ans en arrière :
Balancez-le donc par déçu bord, sans état d’âme et convoquez immédiatement une Constituante où nous viendrons tous et toutes défendre nos idées afin de poser d’abord une base forte pour la Vème République. C’est là où le bas blesse :
Cette « Inventivité », cette « Audace », nous permettra de « Conquêtes » historiques et d’ouverture de portes, même les plus rebelles sans coup férir dans l’amitié et dans un véritable partenariat et sans qu’ont ait besoin de jouer au rodomont ou au matamore devant les grandes puissances. Quand va-t-on enfin comprendre cela ?