Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Situation nationale : Selon le PITJ, « les usurpateurs du MPP » sont dans l’impasse avec un lourd contentieux de crimes de sang
31 mars 2017, 10:23, par
Toutdemême
L’on ne saurait rester indifférent aux sorties de Soumane, pour au moins deux raisons : la dimension historique de ses propos et son courage jamais démenti. Il a, bien entendu, son style, qui peut dérouter certains lecteurs. Les questions soulevées sont graves : l’hybridisme politique qui s’accommode du mariage État moderne-vieilles puissances (Église, royauté), la prépondérance (supposée ou avérée) du plateau central, l’indifférence à la violation de la constitution (putschs), les arrangements entre politiciens, le dilatoire dans le traitement des dossiers de justice, la corruption de la hiérarchie de notre armée et sa division, la trahison du vœu du président démissionnaire, la multiplication des équations à résoudre, l’intrusion d’imposteurs dans la gestion des affaires de l’État, la complexité de la question de la réconciliation nationale, etc. Mais les thérapies proposées sont extrêmes (auto-coup d’État ou coup d’État). N’y a –t-il pas de solutions… moins radicales ? Toutes les bonnes volontés peuvent contribuer à la recherche de solutions, pour peu qu’un cadre idéal y soit consacré, qui ne saurait être ni les organes de presse ni la rue.
L’on ne saurait rester indifférent aux sorties de Soumane, pour au moins deux raisons : la dimension historique de ses propos et son courage jamais démenti. Il a, bien entendu, son style, qui peut dérouter certains lecteurs. Les questions soulevées sont graves : l’hybridisme politique qui s’accommode du mariage État moderne-vieilles puissances (Église, royauté), la prépondérance (supposée ou avérée) du plateau central, l’indifférence à la violation de la constitution (putschs), les arrangements entre politiciens, le dilatoire dans le traitement des dossiers de justice, la corruption de la hiérarchie de notre armée et sa division, la trahison du vœu du président démissionnaire, la multiplication des équations à résoudre, l’intrusion d’imposteurs dans la gestion des affaires de l’État, la complexité de la question de la réconciliation nationale, etc. Mais les thérapies proposées sont extrêmes (auto-coup d’État ou coup d’État). N’y a –t-il pas de solutions… moins radicales ? Toutes les bonnes volontés peuvent contribuer à la recherche de solutions, pour peu qu’un cadre idéal y soit consacré, qui ne saurait être ni les organes de presse ni la rue.