« Si on avait la possibilité de vaincre Malam tout de suite, on le ferait », confesse le Gal. Oumarou Sadou
17 mars 2017, 02:53, par
sidwaya sorgho gomis
Le moins que l’on puisse dire c’est que cette confession du CEMGA ne terrorise pas Malam.
Au contraire elle le rassure que pour encore quelque temps il reste le plus fort.
En outre cette confession rassure ceux qui quittent le Sahel qu’ils ont non seulement fait le bon choix mais qu’ils doivent encore patienter pour le retour. Quant à ceux du Sahel qui n’ont pas la possibilité de quitter la région provisoirement ils doivent se rendre à l’évidence que leur calvaire va encore prendre quelque temps.
La volonté de se battre y ait sans doute, mais sur le plan communicationnel il me semble qu’il ait un petit effort à faire.
Mes encouragements. Le succès est au bout de l’effort.
Le moins que l’on puisse dire c’est que cette confession du CEMGA ne terrorise pas Malam.
Au contraire elle le rassure que pour encore quelque temps il reste le plus fort.
En outre cette confession rassure ceux qui quittent le Sahel qu’ils ont non seulement fait le bon choix mais qu’ils doivent encore patienter pour le retour. Quant à ceux du Sahel qui n’ont pas la possibilité de quitter la région provisoirement ils doivent se rendre à l’évidence que leur calvaire va encore prendre quelque temps.
La volonté de se battre y ait sans doute, mais sur le plan communicationnel il me semble qu’il ait un petit effort à faire.
Mes encouragements. Le succès est au bout de l’effort.