Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Budget des élections municipales partielles : Le Président de la CENI pris à son propre piège
14 mars 2017, 12:00, par
Kôrô Yamyélé
Aux internautes suivants : SANA, SERVAL, HAD, je vous dit que moi-même je suis un mossi, certaiement plus pur que vous ! Mais on se connait ici ! Pour peu quelqu’un parle de mossi, on bande les muscles et on se dresse sur nos ergos alors que nous sommes les plus exclusionnistes des 60 ethnies de ce pays. Autrement dit que veut dire ’’Gag-nanga’’ en mooré ? N’est-ce pas un terme exclusionniste pour isoler l’autre qui est différent de nous ? Et puis partout on veut dominer, partout on veut être devant ! Pourquoi plusieurs Chefs d’États de ce pays ne se font pas garder par des mossis seulement sur fois du nombre ? Parce qu’ils sont capables de trahir et ravir le pouvoir. Moi-même dans les environs de mon petit village ici, j’ai plus de problèmes avec nos ’’parents’’ mossis que les autochtones. Je tabasse copieusement même souvent certains pour calmer leurs jalousies et leurs commérages envers moi, puisque tout ce qu’ils racontent sur moi aux autochtones non mossis, ces derniers me le disent.
CONCLUSION : Reconnaissons nos tares et nous guérirons petit à petit.
Aux internautes suivants : SANA, SERVAL, HAD, je vous dit que moi-même je suis un mossi, certaiement plus pur que vous ! Mais on se connait ici ! Pour peu quelqu’un parle de mossi, on bande les muscles et on se dresse sur nos ergos alors que nous sommes les plus exclusionnistes des 60 ethnies de ce pays. Autrement dit que veut dire ’’Gag-nanga’’ en mooré ? N’est-ce pas un terme exclusionniste pour isoler l’autre qui est différent de nous ? Et puis partout on veut dominer, partout on veut être devant ! Pourquoi plusieurs Chefs d’États de ce pays ne se font pas garder par des mossis seulement sur fois du nombre ? Parce qu’ils sont capables de trahir et ravir le pouvoir. Moi-même dans les environs de mon petit village ici, j’ai plus de problèmes avec nos ’’parents’’ mossis que les autochtones. Je tabasse copieusement même souvent certains pour calmer leurs jalousies et leurs commérages envers moi, puisque tout ce qu’ils racontent sur moi aux autochtones non mossis, ces derniers me le disent.
CONCLUSION : Reconnaissons nos tares et nous guérirons petit à petit.
Par Kôrô Yamyélé