CASEM du MESRSI : La normalisation des années académiques dans les universités publiques avant fin 2017
20 mars 2017, 09:08, par
Kôrô Yamyélé
Mon fils Burkimbia, c’est ce que moi je dénonce tous les jours que Dieu fait. Il faut que les gens soient un peu responsables ! Comment on va laisser des filles entièrement voilées dans ce milieu ? Décidément pour les Wahhabia-là (WahhaBITES) maintenant c’est de la provocation outrancière ! Il faut que l’autorité réagisse au lieu de laisser des individus singer l’Arabie et nous imposer ici du n’importe quoi. Pourquoi a-t-on peur d’eux même ?
Pour les places, normal que vous soyez nombreux plus que le nombre de places ! Ce sont les magouilles de vos enseignants qui favorisent les inscriptions de leurs proches. Tu es en médecine ? Regarde bien et tu verras que certains étudiants y sont entrés en médecine et en pharmacie avec 11,un peu de moyenne et non 12/20 comme prévu !
Pour la dégradation des lieux et les coupures intempestives de courant, c’est simplement l’irresponsablité des autorites, plus préoccupées à flatter le peuple mouton qu’à bien investir.
Mon fils Burkimbia, c’est ce que moi je dénonce tous les jours que Dieu fait. Il faut que les gens soient un peu responsables ! Comment on va laisser des filles entièrement voilées dans ce milieu ? Décidément pour les Wahhabia-là (WahhaBITES) maintenant c’est de la provocation outrancière ! Il faut que l’autorité réagisse au lieu de laisser des individus singer l’Arabie et nous imposer ici du n’importe quoi. Pourquoi a-t-on peur d’eux même ?
Pour les places, normal que vous soyez nombreux plus que le nombre de places ! Ce sont les magouilles de vos enseignants qui favorisent les inscriptions de leurs proches. Tu es en médecine ? Regarde bien et tu verras que certains étudiants y sont entrés en médecine et en pharmacie avec 11,un peu de moyenne et non 12/20 comme prévu !
Pour la dégradation des lieux et les coupures intempestives de courant, c’est simplement l’irresponsablité des autorites, plus préoccupées à flatter le peuple mouton qu’à bien investir.
Par Kôrô Yamyélé