CASEM du MESRSI : La normalisation des années académiques dans les universités publiques avant fin 2017
19 mars 2017, 21:13, par
étudiant noir
Continuez de couper coller cher ministre.Comment pouvez vous rattraper le retard sans construire des amphis de plus de 1000 places ? par manque d’amphis,nous sommes obliger de rester à la maison pour permettre à la nouvelle promotion de faire quelques cours.Le plus grand et grave problème des universités publiques burkinabè reste le manque d’amphis et du personnel enseignant,chose que je considère que l’Etat ne fait pas d’effort.Sincèrement les histoires de bus,d’universités virtuelles seront du vrai gachis si les problèmes évoqués çi-dessus ne sont pas reglés et je paris sur ma tête.Venez voir à Koudougou,nous risquons de détroner Ouagadougou.A bon entendeur,salut.
Continuez de couper coller cher ministre.Comment pouvez vous rattraper le retard sans construire des amphis de plus de 1000 places ? par manque d’amphis,nous sommes obliger de rester à la maison pour permettre à la nouvelle promotion de faire quelques cours.Le plus grand et grave problème des universités publiques burkinabè reste le manque d’amphis et du personnel enseignant,chose que je considère que l’Etat ne fait pas d’effort.Sincèrement les histoires de bus,d’universités virtuelles seront du vrai gachis si les problèmes évoqués çi-dessus ne sont pas reglés et je paris sur ma tête.Venez voir à Koudougou,nous risquons de détroner Ouagadougou.A bon entendeur,salut.