Célébration du 8-mars au Burkina : Lettre d’une mère à sa fille
9 mars 2017, 09:44, par
Toutdemême
Il est temps d’arrêter d’infantiliser les femmes. Par consensus, par la volonté de la majorité ou par leurs élites, qu’elles décident de faire ce qu’elles veulent de leur journée. A qui veut-on faire croire qu’une journée suffit à régler leurs problèmes, fût-elle de méditation ? La question n’est pas là. Il s’agit plutôt de se départir des faux clichés sur les femmes, prétendument lésées, qui font recette pour le plaisir de certains lobbys. Au Burkina, depuis la révolution, les femmes ont gagné bien de galons. Qu’elles travaillent à renforcer leur acquis, sans que des hommes ne jouent forcément aux guides.
Il est temps d’arrêter d’infantiliser les femmes. Par consensus, par la volonté de la majorité ou par leurs élites, qu’elles décident de faire ce qu’elles veulent de leur journée. A qui veut-on faire croire qu’une journée suffit à régler leurs problèmes, fût-elle de méditation ? La question n’est pas là. Il s’agit plutôt de se départir des faux clichés sur les femmes, prétendument lésées, qui font recette pour le plaisir de certains lobbys. Au Burkina, depuis la révolution, les femmes ont gagné bien de galons. Qu’elles travaillent à renforcer leur acquis, sans que des hommes ne jouent forcément aux guides.