Production maraichère au Sahel : Le bouli de Djomga piégé par le sable
5 mars 2017, 18:53, par
Fidèle
L’ensablement du boulis comme celui du lac Bam et autres est le fait de nos mauvaises pratiques agricoles aux abords de ces retenues d’eau. Les berges ne sont pas protégées. On cultive dans le lit de ces retenues et on ne reboise pas tout autour. Les conséquences sont connues. Il faut encore en tirer toutes les leçons ce qui ne semble pas encore le cas au lac Bam car rehausser une digue ne va rien résoudre du tout ! Il faut commencer par déguerpir tout le monde des abords et les déplacer à une distance minimale de 100 mètres quitte à les aider pour se réinstaller. Sic, c’est écrit noir sur blanc dans le code de l’environnement ! Pas un seul arbre planté tout autour de ce boulis pour freiner l’évaporation de l’eau et l’érosion éolienne !
L’ensablement du boulis comme celui du lac Bam et autres est le fait de nos mauvaises pratiques agricoles aux abords de ces retenues d’eau. Les berges ne sont pas protégées. On cultive dans le lit de ces retenues et on ne reboise pas tout autour. Les conséquences sont connues. Il faut encore en tirer toutes les leçons ce qui ne semble pas encore le cas au lac Bam car rehausser une digue ne va rien résoudre du tout ! Il faut commencer par déguerpir tout le monde des abords et les déplacer à une distance minimale de 100 mètres quitte à les aider pour se réinstaller. Sic, c’est écrit noir sur blanc dans le code de l’environnement ! Pas un seul arbre planté tout autour de ce boulis pour freiner l’évaporation de l’eau et l’érosion éolienne !