Grèves à répétition : Le président de l’Assemblée nationale dénonce des manœuvres d’officines politiques pour déstabiliser le pouvoir
2 mars 2017, 08:13, par
Ka
Merci Moussa pour cette Analyse et aussi pour tes remarques enrichissants, et surtout de rappeler à nos gouvernants qu’au Burkina, ‘’’gouverner avec prétention est résolu avec une jeunesse sous l’ombre qui dit que rien ne sera plus comme avant.’’’ Il est temps que Roch Kaboré et son équipe, surtout son PAN aient le courage de rompre avec ce qui retarde l’avancer de notre pays, ‘’’’qui est la gouvernance par arrogance d’un clan minoritaire qui se prenne pour des Rambo comme du déjà vu pendant 27 ans.’’’’ De Maurice Yameogo avec ses cousins et amis a la gouvernance par force sous le nom de je ne veux pas du <<< TAMPIRISME en mooré >>> qui veut dire au peuple que ce sont eux qui sont au pouvoir, et on doit obéir en mouton : finalement un soulèvement populaire a fait la différence sur cette gouvernance par force. Avec S. Lamizana et des conseillers bidons autour qui lui poussaient a s’endurcir avec les syndicats, qui pourtant luttent farouchement pour une société majorité face à des exploiteurs minoritaire, a fini d’avoir 55 jours de grève qui les ont mis au noir. S. Zerbo qui dormait en laissant son clan voté des lois pour protéger les petits bourgeois a fini par avoir sur le dos des jeunes réacteurs qui l’on réveiller très, très mal. La révolution inachevée de Thomas Sankara tué pour son idéal pur, était pour dire au peuple Burkinabé ‘’’’Quand le peuple ne veut pas ça ne se fait pas.’’’’ C’est pourquoi Blaise Compaoré avec ses comparses qui optent aujourd’hui pour la continuité, en prenant le peuple pour des moutons avec une gouvernance d’arrogance et de force durant 27 ans, s’est retrouver tout seul, et bruler les mains, en fuyant avant midi sans demander son compte. S’en prendre de force aux syndicats, qui, le travailleur ou l’ouvrier a un instrument, ou tous les travailleurs s’entendent pour défendre leurs intérêts de classe, face à des loups ravisseurs comme le PNA qui se prend pour Dieu et la terre, est ne pas connaître le nouveau Burkina avec une jeunesse assoiffée d’une alternance avec une politique juste. En générale, malgré la patience et l’endurance des Burkinabé avec des gouvernants qui se prennent souvent pour des guerriers aveugles, dès que les conditions sont réunies pour dires à ses gouvernants que l’oppression dépasse les bornes, le peuple opprimé se révolte en soulèvement populaire et légitime, qui sont leurs armes puissantes de défense depuis notre Independence. Il est temps que le président Roch Kaboré balaie quelques loups avant qu’il ne brule les mains comme du déjà vu. Je reconfirme ma solidarité avec celui qui a pu convaincre Salif Diallo avec son MPP, de souhaiter un bon rétablissement au soldat Djibril Bassolé, un geste qui restera un symbole de solidarité entre un peuple uni dans la joie ou dans la souffrance, et qui confirme la bonne marche de notre jeune démocratie voulu pour tous.
Merci Moussa pour cette Analyse et aussi pour tes remarques enrichissants, et surtout de rappeler à nos gouvernants qu’au Burkina, ‘’’gouverner avec prétention est résolu avec une jeunesse sous l’ombre qui dit que rien ne sera plus comme avant.’’’ Il est temps que Roch Kaboré et son équipe, surtout son PAN aient le courage de rompre avec ce qui retarde l’avancer de notre pays, ‘’’’qui est la gouvernance par arrogance d’un clan minoritaire qui se prenne pour des Rambo comme du déjà vu pendant 27 ans.’’’’ De Maurice Yameogo avec ses cousins et amis a la gouvernance par force sous le nom de je ne veux pas du <<< TAMPIRISME en mooré >>> qui veut dire au peuple que ce sont eux qui sont au pouvoir, et on doit obéir en mouton : finalement un soulèvement populaire a fait la différence sur cette gouvernance par force. Avec S. Lamizana et des conseillers bidons autour qui lui poussaient a s’endurcir avec les syndicats, qui pourtant luttent farouchement pour une société majorité face à des exploiteurs minoritaire, a fini d’avoir 55 jours de grève qui les ont mis au noir. S. Zerbo qui dormait en laissant son clan voté des lois pour protéger les petits bourgeois a fini par avoir sur le dos des jeunes réacteurs qui l’on réveiller très, très mal. La révolution inachevée de Thomas Sankara tué pour son idéal pur, était pour dire au peuple Burkinabé ‘’’’Quand le peuple ne veut pas ça ne se fait pas.’’’’ C’est pourquoi Blaise Compaoré avec ses comparses qui optent aujourd’hui pour la continuité, en prenant le peuple pour des moutons avec une gouvernance d’arrogance et de force durant 27 ans, s’est retrouver tout seul, et bruler les mains, en fuyant avant midi sans demander son compte. S’en prendre de force aux syndicats, qui, le travailleur ou l’ouvrier a un instrument, ou tous les travailleurs s’entendent pour défendre leurs intérêts de classe, face à des loups ravisseurs comme le PNA qui se prend pour Dieu et la terre, est ne pas connaître le nouveau Burkina avec une jeunesse assoiffée d’une alternance avec une politique juste. En générale, malgré la patience et l’endurance des Burkinabé avec des gouvernants qui se prennent souvent pour des guerriers aveugles, dès que les conditions sont réunies pour dires à ses gouvernants que l’oppression dépasse les bornes, le peuple opprimé se révolte en soulèvement populaire et légitime, qui sont leurs armes puissantes de défense depuis notre Independence. Il est temps que le président Roch Kaboré balaie quelques loups avant qu’il ne brule les mains comme du déjà vu. Je reconfirme ma solidarité avec celui qui a pu convaincre Salif Diallo avec son MPP, de souhaiter un bon rétablissement au soldat Djibril Bassolé, un geste qui restera un symbole de solidarité entre un peuple uni dans la joie ou dans la souffrance, et qui confirme la bonne marche de notre jeune démocratie voulu pour tous.