« Certains des excès de la lutte syndicale peuvent hypothéquer les chances de développement de notre pays », dixit Paul Kaba Thiéba
27 février 2017, 18:38, par
Moussa
Le PM a dit ceci :
« Tout se passe comme si, les yeux fermés, certains travailleurs n’ont pas la moindre affection pour le bien commun et pour l’équilibre de l’Etat »
et questionne sur les motivations de cette agitation « frénétique et contagieuse ».
« Nos marges de manœuvres sont limitées avec une masse salariale au dessus de 40% des ressources propres de l’Etat »
« ce serait aller à l’encontre de l’esprit de l’insurrection populaire qui signifie gouvernance vertueuse, attention aux plus faibles de la société, priorité à notre jeunesse qui ne veut plus que sont avenir soit hypothéqué, prise en compte des sans-travail (…) ».
Tout cela est vrai, mais tout le monde doit faire sien l’esprit de l’insurrection. En effet, il n’est pas normal que dans la même administration, le salaire mensuel de certains soit sans commune mesure avec le salaire annuel de leurs collaborateurs immédiats de grade le plus élévé (il ne s’agit pas des magistrats dont le cas a été évoqué à souhait).
Alors, Monsieur le PM, ce qu’il faut bien faire, c’est ce que vous entrevoyez de faire :
« Nous devons sans plus tarder nous remettre autour de la table et s’il le faut, remettre à plat toutes les questions touchant aux systèmes de rémunération des agents de l’Etat »
L’objectif de l’insurrection n’est pas d’enrichir une infime minorité au détriment de la grande masse des travailleurs qui s’est dressé contre la dictature depuis son avènement, jusqu’à sa chute.
Le PM a dit ceci :
« Tout se passe comme si, les yeux fermés, certains travailleurs n’ont pas la moindre affection pour le bien commun et pour l’équilibre de l’Etat »
et questionne sur les motivations de cette agitation « frénétique et contagieuse ».
« Nos marges de manœuvres sont limitées avec une masse salariale au dessus de 40% des ressources propres de l’Etat »
« ce serait aller à l’encontre de l’esprit de l’insurrection populaire qui signifie gouvernance vertueuse, attention aux plus faibles de la société, priorité à notre jeunesse qui ne veut plus que sont avenir soit hypothéqué, prise en compte des sans-travail (…) ».
Tout cela est vrai, mais tout le monde doit faire sien l’esprit de l’insurrection. En effet, il n’est pas normal que dans la même administration, le salaire mensuel de certains soit sans commune mesure avec le salaire annuel de leurs collaborateurs immédiats de grade le plus élévé (il ne s’agit pas des magistrats dont le cas a été évoqué à souhait).
Alors, Monsieur le PM, ce qu’il faut bien faire, c’est ce que vous entrevoyez de faire :
« Nous devons sans plus tarder nous remettre autour de la table et s’il le faut, remettre à plat toutes les questions touchant aux systèmes de rémunération des agents de l’Etat »
L’objectif de l’insurrection n’est pas d’enrichir une infime minorité au détriment de la grande masse des travailleurs qui s’est dressé contre la dictature depuis son avènement, jusqu’à sa chute.