Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
« Certains des excès de la lutte syndicale peuvent hypothéquer les chances de développement de notre pays », dixit Paul Kaba Thiéba
27 février 2017, 13:05, par
Cheick Omar
C’est l’expression typique d’un demi-premier ministre qui n’est que le porte-voix de ses maitres, à savoir les RSS dans leur volonté d’entamer la liquidation de la lutte syndicale dans notre pays. Si les princes du moment n’ont pas la mémoire courte, ils devront admettre que c’est toutes les composantes de la nation, avec la contribution déterminantes des syndicats, qui ont permis le retour démocratique dans notre pays. Mais sans doute mal coaché par des fauconniers engoncés dans leurs repères luxueux d’un pouvoir qui tarde toujours à satisfaire la volonté du peuple, des syndicats ont été identifiés comme faisant parties d’un vaste complot pour déstabiliser le pouvoir en place. Je pense que cette analyse est l’apanage de piètres politiciens en panne d’imagination face à leur incapacité de juguler la fronde sociale. Je pense que le gouvernement aurait pu éviter certaines situations en respectant ses engagements pris avec ses partenaires sociaux. Tout cela est sans doute lié à la cacophonie ambiante au sein de la troïka qui tire le carrosse Burkina. et on aurait applaudi sa volonté d’une trêve sociale et la nécessité de mettre tout à plat en matière de rémunération des fonctionnaires burkinabè. Car vous avez ouvert la boîte de pandores qui ne sera définitivement fermée et scellée qu’avec une certaine équité dans le traitement de la rémunération des traitements des agents de l’Etat. Autrement, nous nagerons dans le dilatoire…et vous verrez chaque jour des tentatives de déstabilisation.
C’est l’expression typique d’un demi-premier ministre qui n’est que le porte-voix de ses maitres, à savoir les RSS dans leur volonté d’entamer la liquidation de la lutte syndicale dans notre pays. Si les princes du moment n’ont pas la mémoire courte, ils devront admettre que c’est toutes les composantes de la nation, avec la contribution déterminantes des syndicats, qui ont permis le retour démocratique dans notre pays. Mais sans doute mal coaché par des fauconniers engoncés dans leurs repères luxueux d’un pouvoir qui tarde toujours à satisfaire la volonté du peuple, des syndicats ont été identifiés comme faisant parties d’un vaste complot pour déstabiliser le pouvoir en place. Je pense que cette analyse est l’apanage de piètres politiciens en panne d’imagination face à leur incapacité de juguler la fronde sociale. Je pense que le gouvernement aurait pu éviter certaines situations en respectant ses engagements pris avec ses partenaires sociaux. Tout cela est sans doute lié à la cacophonie ambiante au sein de la troïka qui tire le carrosse Burkina. et on aurait applaudi sa volonté d’une trêve sociale et la nécessité de mettre tout à plat en matière de rémunération des fonctionnaires burkinabè. Car vous avez ouvert la boîte de pandores qui ne sera définitivement fermée et scellée qu’avec une certaine équité dans le traitement de la rémunération des traitements des agents de l’Etat. Autrement, nous nagerons dans le dilatoire…et vous verrez chaque jour des tentatives de déstabilisation.