Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Stade Municipal inachevé de Nouna : Un lieu de perversité à ciel ouvert
20 février 2017, 12:35, par
Ka
Je suis en colère quand je vois tous ces ruines dans nos villes : Pourtant nous avons les moyens pour les retaper, et poursuivre les six engagements pour un Burkina émergeant, si un ministre de l’infrastructure et ses acolytes ne puisaient pas dans les caisses de l’état par plaisir de gaspiller. Mêmes si les entrepreneurs font des dégâts, la moindre des choses est que l’état reprenne sans hésité les travaux avant la sanction, pour que tout ne tombe à l’eau. Quand je revois le palais de Maurice Yameogo à Koudougou, le palais des rois du Boulkiemdé dit Lallé Naaba de cette même ville, les anciens prestiges de l’air coloniale, tous en ruines qu’on pouvait restaurer a des musées, ou des bibliothèques régionale, nos décideurs ne font qu’a dormir dans leurs bureaux à faire théoriquement le moral au peuple. Ce que je constate avec amertume, c’est que le prochain lieu dans les prochaines années ou Lefaso.net fera une analyse de ce genre de ruine, ça sera à Ziniaré, ‘’’le palais du caméléon président Blaise Compaoré qui sera a l’abandon pitoyable.’’’ Pourtant c’est le fruit du denier public du peuple Burkinabé.
Je suis en colère quand je vois tous ces ruines dans nos villes : Pourtant nous avons les moyens pour les retaper, et poursuivre les six engagements pour un Burkina émergeant, si un ministre de l’infrastructure et ses acolytes ne puisaient pas dans les caisses de l’état par plaisir de gaspiller. Mêmes si les entrepreneurs font des dégâts, la moindre des choses est que l’état reprenne sans hésité les travaux avant la sanction, pour que tout ne tombe à l’eau. Quand je revois le palais de Maurice Yameogo à Koudougou, le palais des rois du Boulkiemdé dit Lallé Naaba de cette même ville, les anciens prestiges de l’air coloniale, tous en ruines qu’on pouvait restaurer a des musées, ou des bibliothèques régionale, nos décideurs ne font qu’a dormir dans leurs bureaux à faire théoriquement le moral au peuple. Ce que je constate avec amertume, c’est que le prochain lieu dans les prochaines années ou Lefaso.net fera une analyse de ce genre de ruine, ça sera à Ziniaré, ‘’’le palais du caméléon président Blaise Compaoré qui sera a l’abandon pitoyable.’’’ Pourtant c’est le fruit du denier public du peuple Burkinabé.