Terrorisme : Jamais deux sans trois !

Deux sans trois, si dans tout l’arc de cercle de la carte du Burkina concerné par la terreur, la gendarmerie ne procède pas à des arrestations et à des anéantissements discrets de partisans de l’extrémisme. Deux ensuite trois, si le ministre de la sécurité n’est pas un bidasse qui saura assumer les éventuels dommages collatéraux. Deux ensuite trois, si le gouvernement continue de croire que c’est les syndicats qui l’ont élu. Autrement, l’approche diplomatique du gouvernement est celle d’un pays qui n’a pas d’ami mais des intérêts, la preuve elle a refilé la patate chaude Soro Guillaume à son pays et l’actualité actuelle lui donne raison. Question, pouvons nous être les ennemis des amis des américains, eux qui le savent mieux que nous et qui demeurent les ’’amis’’ des saoudiens ? C’est de la real politique.