Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Bilan d’un an du régime de Roch Kaboré : « L’opposition aux abois », répond le MPP
12 février 2017, 14:11, par
Karissa
Jour après jour se taisent les sages
Fouillons alors dans les bavardages
Oh semis d’ignorance, haine et félonie
Qui pousseront en forfaits inédits
Qui, grand ou petit pour nous sauver ?
Quoi, acte ou parole pour apaiser ?
Car le précipice approche, approche
Et les bonnes grâces s’épuisent, s’épuisent
Hélas, tous ces vécus qui enseignent
A conjurer ces jours qui saignent
Sur nous point de leçon ne paraissent
Avoir laissé à la fin de la messe.
Cent ans pour sortir du chaos
Si nous y retombons en parfaits sots.
Ayant dit ce qui étreignait mon cœur
Je soumettrai mon silence à rigueur.
Jour après jour se taisent les sages
Fouillons alors dans les bavardages
Oh semis d’ignorance, haine et félonie
Qui pousseront en forfaits inédits
Qui, grand ou petit pour nous sauver ?
Quoi, acte ou parole pour apaiser ?
Car le précipice approche, approche
Et les bonnes grâces s’épuisent, s’épuisent
Hélas, tous ces vécus qui enseignent
A conjurer ces jours qui saignent
Sur nous point de leçon ne paraissent
Avoir laissé à la fin de la messe.
Cent ans pour sortir du chaos
Si nous y retombons en parfaits sots.
Ayant dit ce qui étreignait mon cœur
Je soumettrai mon silence à rigueur.