Brève de comptoirs : Un président mortel en Gambie ?
26 janvier 2017, 15:26, par Moi aussi
Bien dit mon frère. Cette race d’hommes est en voie de disparition en Afrique pour faire place à des jouisseurs en tous genres. Après, ça viendra dire ``qu’en vertu de la Constitution, je suis le chef suprême des armées, 1er magistrat et tutti quanti.’’ Un chef suprême qui détale face à la mort ?
Bref,
– en vous lisant, je ne puis m’empêcher de voir plus près, un Laurent Gbagbo qui se retranche avec ses plus fidèles pour opposer la résistance face à un ennemi super-puissant venu de l’extérieur.
– En vous lisant, je ne puis m’empêcher de penser à Sankara disant, et je vous reprends, « C’est moi qu’ils sont venus chercher. » Une autre manière plus distinguée d’opposer une résistance face à un ennemi venu de l’extérieur.
– En vous lisant, je ne puis enfin m’empêcher de voir plus loin, un Salvador Allende qui se retranche avec ses plus fidèles face à un ennemi super-puissant venu de l’extérieur, n’ayant pas hésité à pilonner le palais présidentiel.
Il y a dans le passé, des civils qui nous ont montrés leur amour pour leur Peuple, proportionnel à leur courage et des officiers d’opérette finement jouisseurs qui quittent le navire au premier tangage.
Bien dit mon frère. Cette race d’hommes est en voie de disparition en Afrique pour faire place à des jouisseurs en tous genres. Après, ça viendra dire ``qu’en vertu de la Constitution, je suis le chef suprême des armées, 1er magistrat et tutti quanti.’’ Un chef suprême qui détale face à la mort ?
Bref,
– en vous lisant, je ne puis m’empêcher de voir plus près, un Laurent Gbagbo qui se retranche avec ses plus fidèles pour opposer la résistance face à un ennemi super-puissant venu de l’extérieur.
– En vous lisant, je ne puis m’empêcher de penser à Sankara disant, et je vous reprends, « C’est moi qu’ils sont venus chercher. » Une autre manière plus distinguée d’opposer une résistance face à un ennemi venu de l’extérieur.
– En vous lisant, je ne puis enfin m’empêcher de voir plus loin, un Salvador Allende qui se retranche avec ses plus fidèles face à un ennemi super-puissant venu de l’extérieur, n’ayant pas hésité à pilonner le palais présidentiel.
Il y a dans le passé, des civils qui nous ont montrés leur amour pour leur Peuple, proportionnel à leur courage et des officiers d’opérette finement jouisseurs qui quittent le navire au premier tangage.