Agression du journaliste Ali Compaoré : L’Association des journalistes du Burkina condamne sans réserve

Mon pauvre ! Malheureusement vous risquez d’être un éternel sidéré parce que si Ali ne change pas, il recevra toujours dans son plat le même menu qu’il aurait servi aux autres. Si il a servi avec viande il aura viande si il a servi avec os, il aura os et en plus sur un plateau d’or avec "linga" (bonus) et sourire.
Nous on regarde seulement !

Aiguisez donc vos langues, empruntez des langues de vipère si ça vous enchante. Mais c’est ce qui est là aujourd’hui qui est là et qui sera là demain si vous ne restituer pas les langues empruntées aux vipères.