Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Enquête parlementaire sur le foncier urbain : Le gouvernement annonce le retrait des parcelles
29 décembre 2016, 09:45, par
@PlusDeCorruption
Solutions au cas-par-cas. Cette question est très sensible, donc le gouvernement et l’AN doivent bien peser leurs décisions. Il est nécessaire de chercher des solutions au cas par cas à ce problème de parcelle, et non penser qu’une décision uniforme peut être prise et appliquée à toutes les parties prenantes (Etat, sociétés immobilières, et citoyens clients de ces sociétés immboilières), y compris des citoyens innocents qui ont acquis regulièrement les terrains sans enfraindre à aucune loi.
Le citoyen client pouvait-il savoir que ces sociétés immobilières opéraient dans l’illégalité ? Nulle part, il n’existe d’informations sur l’irrégularité de ces sociétés immobilières avant la publication des resultats de l’enquête parlémentaire, donc le citoyen n’avait pas a hésiter de se procurer une parcelle auprès de ces sociétés.
Ma parcelle qui sera rétirée sera ultérieurement attribuée à qui ? à un extra-terrestre ? ou à un autre burkinabé ? et cet autre burkinabé est-il plus burkinabé que moi ?
L’Etat est le premier défaillant dans cette affaire.Le citoyen innocent ne doit pas en être une victime de cette affaire, aucune parcelle regulièrement acquis par un citoyen ne doit être retirée. Il faut reconnaître dans cette affaire, une défaillance majeure de l’état, donc ce sont aussi bien les fonctionnaires fautifs que les dirigeants et propriétaires des sociétés immobilières qui doivent en payer les frais, les pots-cassés et NON le citoyen innocent qui a bavé pour acquérir sa parcelle.
Nous ne pouvons pas faire l’insurrection pour de meilleures conditions de vie et en être les victimes par la suite.
Pour la paix Messieurs les politiciens, trouver des solutions au cas-par-cas dans ce dossier de foncier urbain, tout en travaillant durement pour assainir ce secteur, cela devrait commencer par la construction d’une administration publique débarrassée de favoritisme et de corruption.
Solutions au cas-par-cas. Cette question est très sensible, donc le gouvernement et l’AN doivent bien peser leurs décisions. Il est nécessaire de chercher des solutions au cas par cas à ce problème de parcelle, et non penser qu’une décision uniforme peut être prise et appliquée à toutes les parties prenantes (Etat, sociétés immobilières, et citoyens clients de ces sociétés immboilières), y compris des citoyens innocents qui ont acquis regulièrement les terrains sans enfraindre à aucune loi.
Le citoyen client pouvait-il savoir que ces sociétés immobilières opéraient dans l’illégalité ? Nulle part, il n’existe d’informations sur l’irrégularité de ces sociétés immobilières avant la publication des resultats de l’enquête parlémentaire, donc le citoyen n’avait pas a hésiter de se procurer une parcelle auprès de ces sociétés.
Ma parcelle qui sera rétirée sera ultérieurement attribuée à qui ? à un extra-terrestre ? ou à un autre burkinabé ? et cet autre burkinabé est-il plus burkinabé que moi ?
L’Etat est le premier défaillant dans cette affaire. Le citoyen innocent ne doit pas en être une victime de cette affaire, aucune parcelle regulièrement acquis par un citoyen ne doit être retirée. Il faut reconnaître dans cette affaire, une défaillance majeure de l’état, donc ce sont aussi bien les fonctionnaires fautifs que les dirigeants et propriétaires des sociétés immobilières qui doivent en payer les frais, les pots-cassés et NON le citoyen innocent qui a bavé pour acquérir sa parcelle.
Nous ne pouvons pas faire l’insurrection pour de meilleures conditions de vie et en être les victimes par la suite.
Pour la paix Messieurs les politiciens, trouver des solutions au cas-par-cas dans ce dossier de foncier urbain, tout en travaillant durement pour assainir ce secteur, cela devrait commencer par la construction d’une administration publique débarrassée de favoritisme et de corruption.