Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Affaire écoutes téléphoniques Bassolé /Soro : Le rapport de l’expert Allemand est loin d’arranger les choses pour l’accusation
20 décembre 2016, 21:47, par
Brahma
L’Etat gaspille des centaines de millions de nos impôts gratuitement dans des expertises qui n’étaient pas du tout nécessaires, tout ça à cause de la malhonnêteté d’un seul gars qui ne veut pas reconnaître sa propre voix. Quand même ! Mais pourquoi Rebecca elle-même dans son enregistrement ne nie pas que c’est sa voix ? Ni même Gilbert Djiendéré pour les morceaux qui le concernent : voilà un vrai type qui assume comme en vrai homme. Bassolé, toi c’est pas la peine, franchement, c’est la honte ; au moins par dignité, Bassolé doit reconnaître sa voix, ou bien il veut prouver par ce déni qu’il n’est vraiment pas burkinabé. Une femme, ta Rebecca, reconnaît sa voix, et toi tu veux pas !Non, mon type, toi aussi, faux arrêter ça.
De toute façon, le tribunal n’est pas lié par les avis de l’expert. L’expert (encore qu’il soit de bonne foi !) l’éclaire, mais le tribunal peut passer outre ses avis. Alors, M. KO ne faites pas comme si tout reposait sur les experts. Même en France, dans les cas de haute trahison comme ça, on n’a jamais privilégié la justice, encore moins des expertises.
Pour ce qui concerne la loyauté des preuves, le tribunal n’a qu’à motiver simplement sur les circonstances exceptionnelles de l’époque (coup d’Etat fomenté par l’intéressé qui menaçait de tuer même les plus hauts responsables du pays : or, on sait bien que nul ne peut chercher à tirer profit du chaos dont il est l’auteur - alors selon l’adage nemo commodum capere de sua propria injuria), le danger qui menaçait ainsi l’Etat lui-même, et donc les raisons impérieuses de sûreté publique. Point barre, le reste c’est du folklore, si le monsieur refuse de sortir de cette affaire la tête haute en reconnaissant qu’effectivement il a tenté le minable coup comme décrit à Rebecca et Soro, mais qu’il s’est planté, et demande pardon au peuple burkinabé.
A défaut, il va gaspiller inutilement son argent à supporter de pauvres plumitifs comme ce monsieur de le papier griffonné à la hâte rien que pour le gombo, un monsieur qui se ridiculise depuis, sans jamais d’arguments, sinon que les "il paraît que...", "les sources proches du dossier...", etc. Mais apparemment c’est une affaire de clan : lui et son messie ne connaissent pas la honte.
L’Etat gaspille des centaines de millions de nos impôts gratuitement dans des expertises qui n’étaient pas du tout nécessaires, tout ça à cause de la malhonnêteté d’un seul gars qui ne veut pas reconnaître sa propre voix. Quand même ! Mais pourquoi Rebecca elle-même dans son enregistrement ne nie pas que c’est sa voix ? Ni même Gilbert Djiendéré pour les morceaux qui le concernent : voilà un vrai type qui assume comme en vrai homme. Bassolé, toi c’est pas la peine, franchement, c’est la honte ; au moins par dignité, Bassolé doit reconnaître sa voix, ou bien il veut prouver par ce déni qu’il n’est vraiment pas burkinabé. Une femme, ta Rebecca, reconnaît sa voix, et toi tu veux pas !Non, mon type, toi aussi, faux arrêter ça.
De toute façon, le tribunal n’est pas lié par les avis de l’expert. L’expert (encore qu’il soit de bonne foi !) l’éclaire, mais le tribunal peut passer outre ses avis. Alors, M. KO ne faites pas comme si tout reposait sur les experts. Même en France, dans les cas de haute trahison comme ça, on n’a jamais privilégié la justice, encore moins des expertises.
Pour ce qui concerne la loyauté des preuves, le tribunal n’a qu’à motiver simplement sur les circonstances exceptionnelles de l’époque (coup d’Etat fomenté par l’intéressé qui menaçait de tuer même les plus hauts responsables du pays : or, on sait bien que nul ne peut chercher à tirer profit du chaos dont il est l’auteur - alors selon l’adage nemo commodum capere de sua propria injuria), le danger qui menaçait ainsi l’Etat lui-même, et donc les raisons impérieuses de sûreté publique. Point barre, le reste c’est du folklore, si le monsieur refuse de sortir de cette affaire la tête haute en reconnaissant qu’effectivement il a tenté le minable coup comme décrit à Rebecca et Soro, mais qu’il s’est planté, et demande pardon au peuple burkinabé.
A défaut, il va gaspiller inutilement son argent à supporter de pauvres plumitifs comme ce monsieur de le papier griffonné à la hâte rien que pour le gombo, un monsieur qui se ridiculise depuis, sans jamais d’arguments, sinon que les "il paraît que...", "les sources proches du dossier...", etc. Mais apparemment c’est une affaire de clan : lui et son messie ne connaissent pas la honte.