Crise à la CAMEG : Le Tribunal du travail condamne la nouvelle équipe aux dépens
20 décembre 2016, 08:53, par
Élève de maternelle
Aucune prerogative de l’exécutif ne permet de siffler la fin de ce que que vous appelez calvaire. À partir du moment où l’affaire CAMEG a pris le chemin judiciaire, seul la justice sifflera la fin du calvaire. Il y a séparation des pouvoirs et dans les grandes démocraties l’exécutif ne s’imisse pas à une affaire pendante en justice. C’est pourquoi c’est bouche cousue pour RMCK et son esclave PKT sur le dossier CAMEG. Le dossier est en justice dufait d’une plainte de l’exécutif et à mon humble avis seul le retrait de la plainte ( s’il est encore possible) peut arrêter la machine judiciaire, ce qui reviendrait à valider la gouvernance de Dr Kadéoua, chose qui n’est pas du goût de l’exécutif initiateur de la plainte.
Aucune prerogative de l’exécutif ne permet de siffler la fin de ce que que vous appelez calvaire. À partir du moment où l’affaire CAMEG a pris le chemin judiciaire, seul la justice sifflera la fin du calvaire. Il y a séparation des pouvoirs et dans les grandes démocraties l’exécutif ne s’imisse pas à une affaire pendante en justice. C’est pourquoi c’est bouche cousue pour RMCK et son esclave PKT sur le dossier CAMEG. Le dossier est en justice dufait d’une plainte de l’exécutif et à mon humble avis seul le retrait de la plainte ( s’il est encore possible) peut arrêter la machine judiciaire, ce qui reviendrait à valider la gouvernance de Dr Kadéoua, chose qui n’est pas du goût de l’exécutif initiateur de la plainte.