Liberté de la presse au Burkina Faso : Des bons points, mais encore du travail à faire
18 décembre 2016, 12:27, par
Jacques Zanga Dubus
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AInsi donc avec étonnement, une censure à notre encontre serait levée, car, depuis des mois, des tentatives régulières confirmaient que le nom de Jacques Zanga Dubus était "grillé", interdit de commentaire. Ne parlons pas de publication d’article, le site, après le conflit Sèmè-sunnites d’Orodara, avait clairement décidé de ne plus nous publier, pour raison de partialité. Oui, bien sûr, nous ne sommes pas journalistes, tenons à notre subjectivité, et nous exprimons des opinions. Or une opinion est par définition partiale.
L’étape suivante va consister à envoyer un article au Faso.net, pour vérifier si Jacques Zanga Dubus est autorisé de nouveau à exprimer ses opinions. Ce n’est pas une histoire d’ego, car écrire sous un pseudo est tout aussi gratifiant mais signer de son nom "propre" et civil engage davantage sa responsabilité personnelle, et ça nous convient davantage.
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AInsi donc avec étonnement, une censure à notre encontre serait levée, car, depuis des mois, des tentatives régulières confirmaient que le nom de Jacques Zanga Dubus était "grillé", interdit de commentaire. Ne parlons pas de publication d’article, le site, après le conflit Sèmè-sunnites d’Orodara, avait clairement décidé de ne plus nous publier, pour raison de partialité. Oui, bien sûr, nous ne sommes pas journalistes, tenons à notre subjectivité, et nous exprimons des opinions. Or une opinion est par définition partiale.
L’étape suivante va consister à envoyer un article au Faso.net, pour vérifier si Jacques Zanga Dubus est autorisé de nouveau à exprimer ses opinions. Ce n’est pas une histoire d’ego, car écrire sous un pseudo est tout aussi gratifiant mais signer de son nom "propre" et civil engage davantage sa responsabilité personnelle, et ça nous convient davantage.
Jacques Zanga Dubus