Rectificatif : Valère Somé dit n’avoir jamais envisagé une entrée dans la CODER
16 décembre 2016, 12:46, par
SOME
merci ka heureux de me rememorer ces moments hautement historiques, a l’epoque ou il y avait une jeunesse politiquement consciente et responsable. Oui aujourd’hui ces gens qui dirigent sont de cette generation, meme si on n’etait pas tous d’accord, mais on discutait et debatait. Des individus comme des salif diallo... Bref. Fessart fut un haut lieu de debat et de formation politique.
Il fallait avoir le courage politique de rompre, du vrai courage et la force politiques et une vraie formation politique pour affronter quand on connait la force et la puissance de l’UGEV et du Pcrv a l’epoque. Il faut le reconnaitre cela aux Valere, roch, thimotée some, trin poda, halidou, etc... et leur groupe. La feanf etait la feanf, le mouvement etudiant et les syndicats en haute volta connaissaient le vrai debat. Les années 1983 86 a fessart furent les annees d’effervescence politique.
Et aujourd’hui on en beneficie : la mobilisation et la conscience politiques que l’on connait au burkina prend ses origines dans ces debats et luttes syndicales et estudiantines. Je deplore tout simplement qu’aujourd’hui on ait detruit le mouvement etudiant. Je reproche seulement a ces etudiants-fonctionnaires de n’avoir pas su sortir de ces animosités personnelles sous la revolution pour finalement la dynamiter. Certains se permettent de critiquer sans rien savoir de rien, ni avoir meme les moyens, un minimum de la culture de theories politiques pour analyser et critiquer, mais le font de facon trop facile et plate.
SOME
merci ka heureux de me rememorer ces moments hautement historiques, a l’epoque ou il y avait une jeunesse politiquement consciente et responsable. Oui aujourd’hui ces gens qui dirigent sont de cette generation, meme si on n’etait pas tous d’accord, mais on discutait et debatait. Des individus comme des salif diallo... Bref. Fessart fut un haut lieu de debat et de formation politique.
Il fallait avoir le courage politique de rompre, du vrai courage et la force politiques et une vraie formation politique pour affronter quand on connait la force et la puissance de l’UGEV et du Pcrv a l’epoque. Il faut le reconnaitre cela aux Valere, roch, thimotée some, trin poda, halidou, etc... et leur groupe. La feanf etait la feanf, le mouvement etudiant et les syndicats en haute volta connaissaient le vrai debat. Les années 1983 86 a fessart furent les annees d’effervescence politique.
Et aujourd’hui on en beneficie : la mobilisation et la conscience politiques que l’on connait au burkina prend ses origines dans ces debats et luttes syndicales et estudiantines. Je deplore tout simplement qu’aujourd’hui on ait detruit le mouvement etudiant. Je reproche seulement a ces etudiants-fonctionnaires de n’avoir pas su sortir de ces animosités personnelles sous la revolution pour finalement la dynamiter. Certains se permettent de critiquer sans rien savoir de rien, ni avoir meme les moyens, un minimum de la culture de theories politiques pour analyser et critiquer, mais le font de facon trop facile et plate.
SOME