Rencontre SYNSTHA /gouvernement : Il n’était pas question de la plateforme revendicative
25 novembre 2016, 08:56, par
Tous responsables
Bien que les revendications soient compréhensibles, je pense qu’elles sont plus structurelles et ne peuvent pas être résolues "ici et maintenant" avec un pouvoir qui vient de s’installer et qui cherchent les voies de sortir le pays des difficultés dans un contexte de multitudes de grèves et d’insécurité. Cette situation freine l’arrivée des investisseurs pour la relance de l’économie tant souhaitée.
Où étiez vous sous l’ancien régime ? De mémoire de burkinabés, une grève des agents de santé sans service minimum était rare voire inexistante.
Je pense que le syndicat veut punir les pauvres populations. Tous les corps des malades morts (hommes et animaux) pendant cette grève doivent être déposés devant les portes des responsables du syndicat et ils doivent être poursuivis pour complicité de mort. Même si la loi n’est pas précise sur le "service minimum" leur serment et leur humanité (s’il en reste encore) les obligent à s’occuper des malades.
Bien que les revendications soient compréhensibles, je pense qu’elles sont plus structurelles et ne peuvent pas être résolues "ici et maintenant" avec un pouvoir qui vient de s’installer et qui cherchent les voies de sortir le pays des difficultés dans un contexte de multitudes de grèves et d’insécurité. Cette situation freine l’arrivée des investisseurs pour la relance de l’économie tant souhaitée.
Où étiez vous sous l’ancien régime ? De mémoire de burkinabés, une grève des agents de santé sans service minimum était rare voire inexistante.
Je pense que le syndicat veut punir les pauvres populations. Tous les corps des malades morts (hommes et animaux) pendant cette grève doivent être déposés devant les portes des responsables du syndicat et ils doivent être poursuivis pour complicité de mort. Même si la loi n’est pas précise sur le "service minimum" leur serment et leur humanité (s’il en reste encore) les obligent à s’occuper des malades.