« On se sent mieux à l’aise aux côtés du MPP que des autres », confie Athanase Boudo de l’UNIR/PS

Voila le genre de discours creux qui n’apporte rien a la cause. La langue de bois politique ! On debite des choses pour la forme… qui n’ont rien a voir les preoccupations populaires. Apres comment voulez vous mobiliser ? Et mobiliser qui ? Ces individus n’ont pas aucune honte, ni aucune dignite que d’oser venir parler encore a la face et à la place du peuple !

« Au contraire, le fait que l’UNIR/PS co-gère le pouvoir (…) peut constituer une bouffée d’oxygène pour ces dossiers ». Inutile de vous debattre dans des contorsions intellectuelles pour tenter de vous justifier. Ayez la decence de vous taire !

« On se sent très bien à l’aise aux côtés du MPP que si nous étions aux côtés des autres », a-t-il soutenu avant d’ironiser que, même si des gens estiment que son parti a opté d’« aller à la soupe », cette soupe-là est « pimentée » Justement le piment agremente la soupe : donc delectez vous jusqu’à votre mort definitive. Mieux ! fusionnez avec le MPP.

« Sur le même aspect, Germaine Pitroipa, représentante en France de l’UNIR/PS et membre de la commission constitutionnelle, a appuyé en indiquant que par cette option, son parti n’a fait que répondre à son slogan : ‘’pas un seul pas sans le peuple’’. De son avis, c’est le peuple qui a, suite à l’insurrection populaire, choisi le MPP, parmi tant d’autres, pour diriger le Burkina ; de ce fait, il n’appartient pas à l’UNIR/PS de dire le contraire. ‘’Ce serait renier son slogan’’ » Blaise avait été choisi par le peuple aussi ! Choisissons d’autres arguments plus solides ! Germaine tu m’etonnes. Je suis plus que decu !

Non il nous faut un vrai debat sur le sankarisme : c’est quoi reellement etre sankariste ? Comme je le disais, nous laisserons pas tuer Thomas sankara une deuxieme fois de facon si honteuse : il nous faut notre insurrection interne. Comment pouvez accepter cette forfaiture de l’analyse de l’ADN, etc ? Vous etes une honte a thomas sankara : je me genais avant, je ne voulais pas voir la realité, mais je me suis retrouvé ramené avec force et brutalité a la triste realité. Malgré tous les discours et phraseologies alambiquées, etc. on sait finalement qui vous etes.
Germaine : je suis decu
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