Au secours… Le FONAENF serait-il sur le point de s’écrouler ?
11 novembre 2016, 19:55, par
Le Sahelien.
A tout ceux qui aspirent à la présidence de notre pays et qui parlent d’émergence dans leurs programmes de société. Comment peut on prétendre au développement lorsque dans une pays les 2/3 des ses filles et fils demeurent analphabètes ?
De beaux discours ont été entendus par ces marchands d’illusions pour que le taux vertigineux d’analphabétisme au Burkina relève de notre passé.
Le constat est de plus en plus alarmant ; voir honteux. L’aphabetisation et l’éducation non formelle ne perturbent guère le sommeil des dirigeants. Donc ne parlons pas de priorité à ce sujet . Sinon, comment comprendre des structures comme le FONAENF OU L’APENF qui ont de l’expertise à revendre et dont leurs mérites ont débordé les frontières de notre pays soient de moins en moins accompagnés par l’état ?
C’est une insulte lorsqu’on ne joint pas l’acte à la parole. Délaisser le FONAENF ,
c’est reconduire le pays avant les années 60.Une chose est certaine, le citoyen lambda du village le plus reculé à besoin d’apprendre afin d’apporter sa pierre à la construction de notre Burkina.
A tout ceux qui aspirent à la présidence de notre pays et qui parlent d’émergence dans leurs programmes de société. Comment peut on prétendre au développement lorsque dans une pays les 2/3 des ses filles et fils demeurent analphabètes ?
De beaux discours ont été entendus par ces marchands d’illusions pour que le taux vertigineux d’analphabétisme au Burkina relève de notre passé.
Le constat est de plus en plus alarmant ; voir honteux. L’aphabetisation et l’éducation non formelle ne perturbent guère le sommeil des dirigeants. Donc ne parlons pas de priorité à ce sujet . Sinon, comment comprendre des structures comme le FONAENF OU L’APENF qui ont de l’expertise à revendre et dont leurs mérites ont débordé les frontières de notre pays soient de moins en moins accompagnés par l’état ?
C’est une insulte lorsqu’on ne joint pas l’acte à la parole. Délaisser le FONAENF ,
c’est reconduire le pays avant les années 60.Une chose est certaine, le citoyen lambda du village le plus reculé à besoin d’apprendre afin d’apporter sa pierre à la construction de notre Burkina.