An II de l’insurrection populaire : La CCVC de la Ville de Ouagadougou appelle à en approfondir l’esprit révolutionnaire
27 octobre 2016, 15:59, par
Clair clair
Au son de cloche, sortons massivement chasser ces margoulettes. Etat, Gouvernement, Parlement, tous ces groupuscules qui nous sucent. C’est nous les ouvriers, les paysans, les petits commerçants, les travailleurs de la basse classe qui produisons les richesses. L’or de nos ancêtres est pillé, notre terre vendue par cette merdre appelée Etat. Nous n’avons pas l’eau potable et nos salaires sont minables. Nos productions sont payées à vils prix et si on refuse de vendre, la bourgeoisie nous promet la pourriture ! Nos enfants fréquentent les écoles sous pallotes et nos femmes accouchent par terre. Mort à cette bande de vipères qui circulent dans les V8, les limosines et dorment dans les étages et les villas. Je brûle d’envie de les caillasser, ces gros ventres logés dans les vestes, qui se pavanent dans les tévisions que nos enfants ne peuvent regarder. C’est nous les ouvriers qui avons construit de nos mains les immeubles, qui payons nos impôts et qui nétoyons les villes que la bourgeoisie sali chaque jour. Je milite pour l’anarchie à défaut de rêver vainement pour un nouvel ordre mondial où les richesses sont maudites et où la bienveillance est une vertu partagée.
Au son de cloche, sortons massivement chasser ces margoulettes. Etat, Gouvernement, Parlement, tous ces groupuscules qui nous sucent. C’est nous les ouvriers, les paysans, les petits commerçants, les travailleurs de la basse classe qui produisons les richesses. L’or de nos ancêtres est pillé, notre terre vendue par cette merdre appelée Etat. Nous n’avons pas l’eau potable et nos salaires sont minables. Nos productions sont payées à vils prix et si on refuse de vendre, la bourgeoisie nous promet la pourriture ! Nos enfants fréquentent les écoles sous pallotes et nos femmes accouchent par terre. Mort à cette bande de vipères qui circulent dans les V8, les limosines et dorment dans les étages et les villas. Je brûle d’envie de les caillasser, ces gros ventres logés dans les vestes, qui se pavanent dans les tévisions que nos enfants ne peuvent regarder. C’est nous les ouvriers qui avons construit de nos mains les immeubles, qui payons nos impôts et qui nétoyons les villes que la bourgeoisie sali chaque jour. Je milite pour l’anarchie à défaut de rêver vainement pour un nouvel ordre mondial où les richesses sont maudites et où la bienveillance est une vertu partagée.